Fonds Paul Meyer

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Fonds Paul Meyer

Présentation des fonds et corpus de la Direction de la documentation et de l'édition
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Fonds Paul Meyer
Université : Université de Lorraine
Époque : 19ème siècle
Domaine : Philologie romane
Contexte : Donation
Ville : Nancy
Pays : France

Le fonds Paul Meyer désigne l’ensemble des ouvrages provenant de la bibliothèque personnelle de M. Paul Meyer, acquis par la Bibliothèque universitaire de lettres et de sciences humaines de Nancy 2 suite à une donation posthume.

Présentation du fonds Paul Meyer

L'article ci-dessous a comme point de départ le mémoire de Betty Bordron, rédigé en 2004 sous la direction d'Isabelle Turcan, dans le cadre d'un stage effectué à l'ATILF en partenariat avec la Bibliothèque universitaire de lettres (BUL). Des modifications et des enrichissements réguliers ont été depuis apportés par les équipes de la BUL (rattachée la Direction de la documentation et de l'édition de l'Université de Lorraine, depuis janvier 2012), afin de prendre en compte l'avancement du travail toujours en cours sur le fonds .

Biographie de Paul Meyer

Paul Meyer est un savant du XIXe siècle, spécialisé en philologie romane.

Né à Paris le 17 janvier 1840, Marie-Paul-Hyacinthe Meyer devient élève de l’École des Chartes en 1858, où il se prend de passion pour la philologie romane. Après l'obtention d'un diplôme d'archiviste-paléographe (promotion du 28 janvier 1861[1], il travaille aux archives de Tarascon. De 1866 à 1872, il est archiviste aux Archives impériales, qui, dans l'intervalle, sont devenues les Archives nationales. Il est nommé professeur suppléant à l'École des Chartes en 1869, dont il devient le Secrétaire général en 1872. Il obtient définitivement la chaire des langues romanes en 1882, quelques jours seulement avant de remplacer Jules Quicherat[2] comme directeur de cette institution. Dans l'intervalle, il est entré comme professeur au Collège de France pour y enseigner les langues et les littératures d'Europe méridionale, chaire dont il restera titulaire jusqu'en 1906.

Il est élu membre de l'Académie des Inscriptions et Belles Lettres en 1884. Il reçoit de nombreux prix scientifiques dont, en 1883, le prix biennal décerné par l'Académie des Inscriptions et Belles Lettres pour l'ensemble de ses travaux sur les langues romanes.

Comme en témoignent ses publications ainsi que les ouvrages présents dans sa bibliothèque, Paul Meyer porte un intérêt particulier à la langue et à la littérature des anciens troubadours. Avec son ami et confrère Gaston Paris[3], il fonde la Revue critique d'histoire et de littérature[4] en 1866 et la revue Romania[5] en 1872. Cette dernière a exercé une grande influence et a bénéficié d’un prestige international dans le domaine des études latines, établissant ainsi le prestige de la France dans une branche d'étude dont l'Allemagne s'était jusqu'alors assuré le monopole.

En 1875, Paul Meyer et Gaston Paris fondent la Société des anciens textes français[6].

Histoire du fonds Paul Meyer

A sa mort, le 7 septembre 1917, Paul Meyer souhaitait léguer sa bibliothèque à l'université de Strasbourg. Cependant, puisque l'Alsace oscillait sans cesse entre la France et l'Allemagne, les ouvrages furent accueillis par mesure de précaution par la Bibliothèque de l'Université de Nancy - l'actuelle Bibliothèque universitaire de droit de la place Carnot - qui couvrait alors toutes les disciplines.

Si on se réfère à la date d'entrée dans les registres du premier ouvrage du fonds, l'inventaire du fonds Paul Meyer a débuté le 15 décembre 1919. Un premier document, daté du 29 octobre de la même année, traite d'un projet d'aménagement de ce fonds, prouvant de la sorte que l'arrivée de ce dernier à Nancy se situe entre septembre 1917 et octobre 1919. Néanmoins, on peut supposer qu'il est arrivé après l'incendie survenu à la Bibliothèque universitaire de droit le 31 octobre 1918 suite à des bombardements. Selon l’introduction d’Albert Kolb pour le Catalogue général des manuscrits des Bibliothèques publiques de France [7], le fonds Paul Meyer «est entré en 1919, grâce à la libéralité de M. Basile Zaharoff». Dans une publication récente [8], Gilles Marseille évoque les actions de solidarité des institutions et des particuliers à l’égard de la Bibliothèque détruite, et, s’appuyant sur une lettre conservée aux archives de Meurthe-et-Moselle, il signale que Basile Zaharoff effectue un don de 30 000 francs pour acquérir la bibliothèque de Paul Meyer [9].


On ignore les raisons qui ont poussé Paul Meyer à souhaiter transmettre sa bibliothèque à Strasbourg mais on peut supposer qu'elles avaient un rapport avec l'existence à l'époque d'une spécialisation en langues romanes dans cette université.

Le fait que son grand-père paternel était originaire de Strasbourg[10] a également pu influencer son choix.

En 1965, la création de la bibliothèque universitaire spécialisée de Lettres et sciences humaines entraîne un important transfert de collections, dont celui de la Bibliothèque de Paul Meyer qui trouve alors sa localisation actuelle, mais pas dans sa totalité, puisque les réserves de la Bibliothèque universitaire de droit conservent encore quelques ouvrages de ce fonds, surtout des doubles, et l'ensemble de ses manuscrits. Cependant, les conditions particulières de l'arrivée du fonds à Nancy en temps de guerre expliquent la difficulté de trouver des documents prouvant l'exactitude des faits et des dates.

Nature et valeur scientifique du fonds Paul Meyer

La partie du fonds déposée à la BU Lettres de Nancy regroupe

  • environ 7700 brochures appelées par la tradition "tirés-à-part", mais qui comprennent aussi toutes sortes de "petites publications" pouvant s'avérer d'un grand intérêt
  • un ensemble de volumes de périodiques qui a plus particulièrement attiré l'attention à partir des années 2020.


Les monographies

La bibliothèque d'un savant tel que Paul Meyer témoigne de la production éditoriale de l'époque sur un sujet d'étude très spécifique.

Le fonds comprend des ouvrages de littérature générale et des ouvrages spécialisés dans les domaines d'études de ce savant. On y trouve ainsi des écrits concernant l'histoire des langues européennes, des langues romanes, de la langue française et en particulier de la langue médiévale et des variétés régionales du français, des dictionnaires, des grammaires, mais aussi des ouvrages de littérature ancienne, européenne et médiévale, ainsi que des cours de littérature française et d'histoire de la littérature publiés au cours du XIXe siècle. Ce fonds est également constitué de livres d'histoire et géographie ou d'histoire du droit, de monographies traitant des religions, de documents de références bibliographiques et de nombreux catalogues.

Ces différentes composantes apparaissent donc comme autant de collections dans le fonds.

La majorité des titres a été éditée au cours du XIXe siècle. Certains (environ 495) sont rédigés dans une langue étrangère (anglais, allemand, espagnol, italien, roumain, latin, grec, etc.) ou dans des langues régionales (langue d'oc) ; ils correspondent à des dictionnaires et à des productions concernant la langue, tels que des grammaires - les ouvrages de philologie romane sont souvent en allemand - ou à des recueils de textes dans leur version originale, en ancien français par exemple.


Les "tirés-à-part"

Ces pièces qui n’avaient, jusqu’au milieu des années 2010, fait l’objet d’aucun inventaire ou catalogage sont regroupées dans environ 237 liasses divisées comme suit :

  • Tirés-à-part proprement dits : environ 180 liasses, correspondant à 6600 pièces, classées par auteurs (les textes de Paul Meyer lui-même occupant un peu plus de 4-5 liasses)
  • Publications de l'Institut : 24 liasses, couvrant la période 1861-1915 (avec des lacunes)
  • Divers : 33 liasses réparties à leur tour en trois sous-ensembles :
    • 26 liasses portant au dos la simple mention « Divers » ;
    • 3 liasses « de circonstance » intitulées : Faire-part et noces ; Avis de décès et notices néchrologiques (sic) ; Almanachs, cinquantenaire et discours ;
    • 4 liasses portant la mention « Catalogues de livres et de manuscrits »

Toutes ces publications constituent un reflet des relations intellectuelles dans la France et l’Europe d’alors (réseaux d’envois, de dédicaces, corrections d’épreuves par Paul Meyer…). Elles témoignent également de la façon de travailler du Maître, par la présence des annotations, mais aussi par le classement même des pièces au sein des dossiers. Leur intérêt est ainsi souligné par Richard Trachsler dans son article «Les hommes, les archives, les livres : à propos du Fonds Paul Meyer conservé à la Bibliothèque Universitaire de Nancy». [11]


Valorisation des tirés-à-part par la BUL:

  • Les 26 dossiers "Divers"

Il a paru judicieux de commencer le « défrichage » de ce fonds par les liasses intitulées énigmatiquement « Divers » : l’inventaire (dans un fichier local) de la totalité des 775 pièces qu’elles contiennent a été terminé en 2020.

Au cours de ce travail d'identification et de recensement, l’appellation usuelle « tirés-à-part » est apparue bien trop réductrice, il serait plus exact de parler de «pièces et brochures», comme l'on qualifiait traditionnellement les publications de moins de 100 pages. On y trouve en effet non seulement des articles (tirés-à-part et extraits), des épreuves de publications (souvent avec des corrections manuscrites), mais aussi des fascicules entiers de périodiques, des monographies, des manuscrits et quelques lettres.

Les documents contenus dans ces 26 liasses présentent également une très grande diversité quant à leur langue, leur lieu de publication, leurs particularités d’exemplaire…

Caractéristiques générales :

  • Dates de publication : de 1529 à 1917 (avec une grande majorité de parutions du 19e siècle et du début du 20e siècle)
  • Langues de publication : français (434 pièces), anglais (116), italien (74), allemand (64), catalan, espagnol, langue d’oc, valdôtain…
  • Sujets couverts : philologie et histoire littéraire romanes (études linguistiques, éditions de textes et critique) ; société, histoire et politique contemporaines de la vie de Paul Meyer

Nombre de ces pièces présentent un intérêt intrinsèque, accentué par leur caractère de rareté, que la recherche d’autres exemplaires éventuels dans les catalogues de bibliothèques nationaux ou internationaux a permis de mettre en évidence.

  • Les dossiers portant le nom de Paul Meyer

Ces 6 liasses sont composées en totalité ou en partie de pièces émanant de Paul Meyer lui-même, ce qui représente un total de 123 textes portant sa signature. En 2021, elles ont fait l’objet d’une description détaillée dans le catalogue collectif national sudoc et dans le catalogue universitaire lorrain ulysse [12].

Les textes rassemblés dans ces liasses proviennent principalement de revues comme la Romania, la Bibliothèque de l’Ecole des chartes, le Bulletin de la Société des anciens textes français, le Jahrbuch für romanische und englische Literatur; figurent également de nombreuses contributions de Paul Meyer aux Notices et extraits des manuscrits de la Bibliothèque nationale et autres bibliothèques.

Il s’agit de tirés-à-part proprement dits mais aussi d’épreuves de publications, souvent annotées, et l’on dispose ainsi parfois de versions successives du même texte.

Les articles concernent la philologie romane ou la description de manuscrits. On trouve aussi une leçon d’ouverture de Paul Meyer sur la littérature provençale (Ecole impériale des chartes, 1865) ou une autre pour le Cours des langues et littératures de l'Europe méridionale (Collège de France, 1876).

Sont également présents quelques rapports, dans leur forme provisoire (annotée) et/ou définitive, comme par exemple celui intitulé Pour la simplification de notre orthographe : mémoire suivi du Rapport sur les travaux de la Commission chargée de préparer la simplification de l'orthographe française (1905), ou encre les Observations présentées à la Commission des bibliothèques et archives par le directeur de l'Ecole des Chartes (1906). [13]

Ce regroupement permet d’engager une bibliographie des travaux du philologue autres que ses ouvrages. (Pour être encore plus exhaustif, il conviendrait de rajouter une vingtaine d’articles et épreuves ou versions d’articles restés dispersés dans les dossiers intitulés Divers).

Les périodiques

La place des périodiques dans la bibliothèque de Paul Meyer avait été, semble-t-il, peu étudiée jusqu’ici. Toutefois, des découvertes récentes lors de la consultation de volumes de revues ont amené à entamer quelques investigations plus poussées à ce sujet.

Cinq titres de revues, inscrits à l’inventaire à partir de juillet 1928, avaient été regroupés à la suite des monographies. Parmi eux figurent les 15 volumes du Jahrbuch für romanische und englische Literatur( devenu en 1873 Jahrbuch für romanische und englische Sprache und Literatur), revue à laquelle Paul Meyer a lui-même contribué.

D’autres ensembles de périodiques provenant de la bibliothèque du maître ont, eux, été classés au sein du fonds général des périodiques de la bibliothèque universitaire, où ils constituent la « tête de collection » pour plusieurs titres. Ainsi, les vol. 1 (1866) à 69 (1910) de la Revue critique d'histoire et de littérature tout comme les vol. 1 (1872) à 41 (1912) de la Romania sont issus des collections de Paul Meyer.

Parmi les autres parties de collections de revues issues de la bibliothèque de Paul Meyer, on peut citer :

  • les vol. 1 (1839-1840) à 77 (1916) de la Bibliothèque de l’Ecole des chartes
  • les vol. 1 (1877) à 35 (1911) de la Zeitschrift für romanische Philologie
  • les vol. 1876 et 1878 à 1914 du Bulletin de la Société des anciens textes français
  • les vol. 1867 à 1914/15 de l’Annuaire-bulletin de la Société de l’histoire de France
  • les vol. 1 (1870) à 57 (1914) de la Revue des langues romanes


Un principe d'annotations

Chanson de Roland annotée par Paul Meyer Annotation collée en page de titre
Chanson de Roland annotée par Paul Meyer Annotations dans le texte
Chanson de Roland annotée par Paul Meyer Page de titre

La présence de notes manuscrites, de dédicaces et/ou de documents divers insérés dans la majorité des livres accordent une plus grande valeur à ce fonds. En effet, d'après Jacques Monfrin dans Études de philologie romane (2001), lors de l'étude de manuscrits, Paul Meyer notait systématiquement dans ses notices ses réflexions d'études dont il reconnaissait l'intérêt scientifique : « Ces notices de manuscrits ont une valeur permanente. Ce sont là les articles les plus utiles. Le plus grand service que l'on pourrait rendre à nos études est d'en publier le plus possible. Vous même [en parlant à Gaston Paris], quoique vous connaissiez bien la littérature française du Moyen-Âge, vous ne vous figurez pas la quantité de faits que vous ignorez et que des notices de faits mettent en lumière ». Ces considérations sont également valables pour l'étude des langues occitanes et la philologie en général, et les annotations ainsi accumulées par Paul Meyer pourraient encore servir à des études, à l'instar de ses notes sur l'histoire littéraire de Moyen-Âge, qui ont permis aux spécialistes d'avoir une meilleure connaissance de ce domaine aux XIIIe et XIVe siècles.

La Chanson de Roland et le Roman de Roncevaux des XIIe et XIIIe siècles publiés d'après les mss. de la Bibliothèque Bodléienne à Oxford et de la Bibliothèque Impériale par Francisque-Michel. Paris : F. Didot, 1869

Paul Meyer, un homme dans son époque : l'affaire Dreyfus

En octobre 2013, le travail de référencement du fonds Paul Meyer en cours à la BUL a permis d’y découvrir un exemplaire du Compte-rendu sténographique du Procès Zola devant la Cour d'assises de la Seine et la Cour de cassation, 7 février-23 février, 31 mars-2 avril 1898, dédicacé de la main de l’auteur de J’accuse. Cette découverte a été l’occasion d’étudier un aspect parfois moins connu de la personnalité de Paul Meyer.

En effet, lors du procès qui lui fut intenté après la publication de son célèbre article en faveur de l’innocence d’Alfred Dreyfus, Emile Zola fit appel à des experts en écriture connus pour leur indépendance et leur compétence. Parmi eux, Paul Meyer, alors directeur de l’Ecole des chartes, qui conclura que le document accusant Dreyfus est un faux. Bien que l’Ecole des chartes ne se soit pas massivement mobilisée en ce sens, plusieurs autres de ses professeurs et anciens élèves rejoindront le camp des dreyfusards (Arthur Giry, Auguste Molinier, Gaston Paris, Paul Viollet).

La bibliothèque de Paul Meyer contient de nombreuses publications en lien avec l’Affaire, en particulier l’Histoire de l'affaire Dreyfus de Joseph Reinach, parue entre 1901 et 1911, plusieurs de ses 7 volumes comportant un hommage de l’auteur à P. Meyer. On y remarque aussi les ouvrages (en rapport avec l’Affaire ou non) publiés et dédicacés par des chartistes dreyfusards (voir le catalogue de la Bibliothèque).

Pour en savoir plus :
Articles sur le rôle des chartistes entre 1894 et 1906 :

  • Ferri, Laurent. – Emile Zola et « ces messieurs de l’Ecole des chartes » dans l’affaire Dreyfus : documents inédits.

In : Bibliothèque de l’Ecole des chartes,2006, tome 164, p. 595-603.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bec_0373-6237_2006_num_164_2_463714

  • Joly, Bertrand. – L’Ecole des chartes et l’Affaire Dreyfus.

In : Bibliothèque de l’Ecole des chartes, 1989, tome 147, pp. 611-671.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bec_0373-6237_1989_num_147_1_450550

  • Ribémont, Thomas. – Les historiens chartistes au coeur de l’affaire Dreyfus.

In : Raisons politiques, 2005, no 18, p. 97-116.
http://www.cairn.info/revue-raisons-politiques-2005-2-page-97.htm

Ouvrages à consulter à la BUL :

  • Gaston Paris dreyfusard : le savant dans la cité / [lettres choisies et présentées par] Ursula Bähler, 1999.

Zs 3201

Et aussi:

  • Émile Gallé : le verrier dreyfusard / Bertrand Tillier, 2004.

0W 11129 / A 748 til

Voir aussi

Notes

  1. Sa thèse, intitulée Recherches sur la langue parlée en Gaule aux temps barbares (Ve - VIe siècles), est restée inédite
  2. Jules Quicherat sur Wikipédia
  3. Gaston Paris sur Wikipédia
  4. La Revue critique d'histoire et de littérature sur Wikipedia et sur Gallica
  5. La revue Romania sur le site Persée et sur Gallica
  6. La Société des anciens textes français sur Wikipédia
  7. Vol. 48, 1933, p. 348
  8. Des lieux pour la lecture savante. Histoire croisée des bibliothèques municipale et universitaires de Nancy du règne de Stanislas à la veille de la Seconde Guerre mondiale, in Nancy-Paris : 1871-1939 : des bibliothèques au service de l'enseignement universitaire de l'histoire de l'art & de l'archéologie / sous la direction de Daniela Gallo et Samuel Provost, 2018, p. 49-75
  9. Lettre sans date, AD54, W 1018 139
  10. Études de philologie romane Publications romanes et françaises - Par J. Monfrin, Geneviève Hasenohr-Esnos, Marie-Clotilde Hubert, Françoise Vielliard
  11. Paru dans "Engagement und Diversität: Frank-Rutger Hausmann zum 75. Geburtstag", dir. par Wolfgang Asholt, Ursula Bähler, Bernhard Hurch, Henning Krauss et Kai Nonnenmacher, Romanische Studien: Beihefte 4 (München: AVM, 2018), p. 433–443
  12. Saisir les termes de recherche « bibliotheque paul meyer recueil factice», puis cliquer le cas échéant sur les titres des parties composantes
  13. Sur le rôle de Paul Meyer dans le mouvement pour une réforme de l'orthographe française, voir : Monika Keller, Ein Jahrhundert Reformen der französischen Orthographie : Geschichte eines Scheiterns : (1886-1991), Tübingen : Stauffenburg, 1991, p. 99 et suivantes
  14. Thomas Antoine, Prou Maurice, Mortet Charles. Paul Meyer. In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1917, tome 78. pp. 429-446