Chanson de Roland (1922) Bédier/Page 186
La Chanson de Roland - 1922 Avant-Propos - Pages 2, 50 - - Notes critiques 184 ![]() ![]() |
Le document original
Laisse CLXXVIII (suite)
Voir la laisse CLXXVII du manuscrit d'Oxford.
Tedbalt de Reins e le cunte Milun : |
les morts couchés, tout comme ils sont. Que bête ni lion n’y touche ! Que n’y touche écuyer ni valet ! Que nul n’y touche, je vous l’ordonne, jusqu’à ce que Dieu nous permette de revenir dans ce champ ! » Et ils répondent avec douceur, en leur amour : « Droit empereur, cher seigneur, ainsi ferons-nous ! » Ils retiennent auprès d’eux mille de leurs chevaliers. |
Laisse CLXXIX
Voir la laisse CLXXVIII du manuscrit d'Oxford.
CLXXIX
Li empereres fait ses graisles suner, |
Laisse CLXXX
Voir la laisse CLXXIX du manuscrit d'Oxford.
CLXXX
Pur Karlemagne fist Deus vertuz mult granz, |