INSI - Réponse initiale à l'appel d'offres

De Artist
Ateliers d'usage INSI
Cadre général du projet
Cadre général
Accueil expérimentation
Article folksonomies scientifiques

Cette page contient le dossier déposé et labellisé par l'iSCC en début 2007.

Fiche signalétique

DOSSIER SCIENTIFIQUE APPEL D’OFFRE ISCC 2007
Ateliers d'Usage INSI
Acronyme du projet Ateliers d’Usage INSI
Titre du projet Ateliers d’Usage des Informations Numériques pour la Science et l’Innovation
Nom du responsable scientifique principal Jacques Ducloy
Organisme d’appartenance CNRS
Fonction Conseiller Scientifique du Directeur
Unité INIST - CNRS
Agissant également au nom des communautés ARTIST / AMETIST
... ...
Axe Thématique AXE 4 INFORMATION SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE

Le document numérique dans le monde de la science et de la recherche

Mots Clés IST, Information Scientifique, Information numérique, données scientifiques numériques, sociologie des usages, mécanismes psycho-cognitifs, appropriation, infrastructures numériques

Partenariat

Partenaire 1 Service commun de valorisation de Nancy Université

Jean-Pierre Thomesse
Agissant pour le compte de l’ensemble des acteurs nancéiens : ATILF, LORIA, Laboratoire de Philosophie et d'Histoire des Sciences-Archives Henri-Poincaré, SCD Sciences, Département de Chimie Physique des Réactions, UMR 7630

Partenaire 2 Paragraphe, Université de Paris 8

Imad Saleh

Partenaire 3 Laboratoire ELICO (ERSICOM) et Université de Lyon 3

Sylvie Lainé-Cruzel
Agissant également pour le compte des acteurs Lyonnais et Grenoblois CCSD

Partenaire 4 Laboratoire ETIC, Université de Metz

Javier Barcenilla & Jérôme Dinet

Résumé du projet

Contexte scientifique

Dans la continuité des initiatives ARTIST, nous voulons structurer une communauté d’acteurs de la recherche et de l’innovation autour de l’information scientifique et technique. Nous voulons étudier les conséquences de l’omniprésence du document numérique coïncidant avec l’émergence de vastes infrastructures de partage de données mondialisées sur les pratiques du monde de la science et de la technologie.

En effet, nous devons nous approprier un continuum entre les données expérimentales, la modélisation de nouveaux savoirs, les publications et leurs métadonnées. Il bouleverse les frontières qui existaient entre les différents acteurs (chercheurs de tous horizons et praticiens du soutien de la recherche), ouvre de nouvelles possibilités de pratiques collectives et diversifie les besoins des institutions ou des partenaires de la recherche.

Dans ce contexte, on constate de puissants efforts de structurations au niveau de nombreux pays (cyberinfrastructures aux Etats-Unis) et Européens.

Descriptif

En pratique nous allons organiser un ensemble d’ateliers (3 par an) autour de thèmes liés à l’évolution du paysage de l’information scientifique, en balayant différents niveaux d’appropriation : individuel, collectif (équipe, communauté de terrain), institutions. L’éventail des pratiques observées sera large : écriture numérique sous ses différents accès, analyse et visualisation d’information, valorisation, évaluation…

Chaque atelier sera pris en charge par un groupe de travail dans lequel on veillera à intégrer différents point de vue : chercheur en science de l’information, chercheur dans les technologies associées, chercheur de disciplines particulières, praticien du soutien de la recherche. Chaque atelier donne lieu à un programme de travail permettant d’expérimenter un ensemble de pratiques (écriture numérique, travaux terminologiques collectifs, analyse d’information). Il débouchera sur un séminaire ouvert au public scientifique. Certains ateliers pourront donner à une mission d’investigation hors de France.

Nous allons également travailler à la mise en place de travaux d’observations de psychologie cognitive ou de sociologie des usages en se servant de ces ateliers comme d’une matière première ou cadre expérimental.

Chaque atelier donnera lieu à la publication de documents qui constitueront une collection numérique.

Le partenariat est construit autour d’un ensemble initial de trois pôles géographiques avec une participation de psychologues de la cognition ou de la sociologie des usages. Compte tenu de la présence de l’INIST, la région Lorraine est plus fortement représentée. Nous rechercherons des cofinancements complémentaires, et notamment au niveau régional et nous avons veillé à ce que les financements demandés dans le cadre de cette aide soient bien utilisés dans un contexte national.

Cette communauté sera organisée par des instances scientifiques de pilotage qui se définiront au fur et à mesure de la réalisation des ateliers.

Un premier résultat attendu par cette réponse est une meilleure structuration de la communauté scientifique concernée par l’information numérique, sa technologie et son appropriation par la communauté scientifique.

Dans ce cadre, un premier travail théorique et collectif concernera les modèles véhiculés par les hypertextes.

Les nouvelles contraintes économiques introduites par la mondialisation et les publications en libre accès bouleversent les équilibres qui s’étaient instaurés entre les institutions de la recherche, les acteurs de l’édition et les sociétés savantes. Nous allons ici concrétiser ces réflexions autour de deux actions :

  • la création d’un cycle régulier d’ateliers à visibilité nationale ;
  • la création d’une collection éditoriale de dossiers thématiques.

Nous irons au-delà des simples aspects économiques ou organisationnels pour introduire également une dimension technologique comme l’utilisation de mécanismes d’écriture numérique ou hypertextuelle.

PRESENTATION DETAILLEE DU PROJET

Notre proposition vise à structurer une communauté d’acteurs de la recherche et de l’innovation autour de l’information scientifique et technique. Pour cela, nous allons organiser un ensemble d’ateliers qui permettront un premier niveau d’expérimentations et qui donneront l’occasion de travailler à la mise en place d’autres initiatives, par exemple dans le cadre d’appels d’offres européens ou de l’ANR.

Contexte scientifique

Nous voulons étudier les conséquences de l’omniprésence du document numérique coïncidant avec l’émergence de vastes infrastructures de partage de données scientifiques mondialisées sur les pratiques du monde de la science et de la technologie.

Pour les chercheurs, les activités scientifiques étaient, jusqu’à aujourd’hui, relativement bien segmentées entre : réflexion, recherche bibliographique, analyse de la littérature, expérimentation, modélisation, conceptualisation, validation, publication. Elles faisaient intervenir des acteurs dont les rôles étaient assez bien dissociés. L’omniprésence d’une information scientifique numérique homogénéisée introduit maintenant un continuum entre les données expérimentales, la modélisation de nouveaux savoirs, les publications et leurs métadonnées.

Pour les praticiens du soutien de la recherche (bibliothécaires, documentalistes, informaticiens…) les anciennes frontières entre les métiers se modifient en permanence, ils doivent intégrer de nouvelles expertises et revisiter leurs usages. Au niveau collectif, dans un contexte associant simultanément compétitivité et coopération, les différents intervenants (chercheurs, praticiens du soutien de la recherche, industriels, acteurs du transfert de technologie) doivent inventer et assimiler de nouvelles pratiques collectives où l’ingénierie du document numérique devient omniprésente.

Pour les institutions, les mêmes informations ou données scientifiques doivent répondre à un ensemble de besoins de plus en plus diversifiés : évaluation, transfert de technologie, valorisation, vulgarisation et diffusion de la culture scientifique vers la société.

Pour chaque type d’information, les publics possibles ont des attentes différentes et complémentaires. Nous pouvons identifier d’abord la communauté des chercheurs d’un domaine scientifique et technologique, puis celle des acteurs du transfert de technologie vers les entreprises et plus généralement le monde socio-économique, et enfin le grand public. Les documents intéressant potentiellement un public particulier ne sont pas toujours compréhensibles par ce public et il est donc nécessaire d’organiser le transfert d’information entre les producteurs et les différents types d’utilisateurs.

Au niveau international, les initiatives structurantes se multiplient. Par exemple, aux Etats-Unis la NSF a soutenu le programme NSDL[1] et développe les réflexions et initiatives sur la cyberinfrastructure, d’abord dans le monde de l’ingénierie ‎[2] et maintenant dans celui des sciences humaines et sociales ‎[3] . Au Royaume-Uni, les Research Councils ont popularisé la notion d’e-science et créé un ensemble d’initiatives telles que le JISC [4], le DCC [5] ou UKOLN[6] . Au niveau européen, le programme ESFRI ‎[7] va contribuer à une vaste diffusion de ces approches et ouvrir de nouvelles opportunités.

Cette réponse à l’appel à proposition s’inscrit dans la continuité de l’initiative ARTIST [8] (Appropriation par la Recherche des Technologies de l’IST). Celle-ci réunit des chercheurs et praticiens autour de ces problématiques. ARTIST entretient des relations fortes avec des communautés scientifiques qui se réunissent essentiellement autour de colloques (CIDE [9], VSST [10]) avec des ouvertures internationales (DCMI[11] ). ARTIST a également récemment lancé une revue numérique AMETIST [12] (Appropriation, Mutualisation et Expérimentation des Technologies de l’IST).

En pratique, nous voulons construire un cadre pour un travail régulier et pouvant déboucher sur des réalisations concrètes. Nous voulons également travailler à élargir notre base de réflexion multidisciplinaire en réunissant des ateliers sur les nouveaux usages de l’information numérique en impliquant des chercheurs et des praticiens :

  • des sciences de l’information et de communication,
  • de l’ingénierie de l’information numérique,
  • des diverses disciplines scientifiques concernées dans leurs applications,
  • de la psychologie cognitive au niveau individuel,
  • de la sociologie des usages pour les aspects collectifs.

Descriptif du projet : un ensemble d’ateliers

Pour mieux structurer cette communauté, nous proposons un ensemble d’ateliers permettant aux acteurs concernés par cette évolution de mieux s’organiser dans un contexte national et international. Ces ateliers traiteront de différents aspects de l’appropriation des technologies de l’information numérique et scientifique. Chaque atelier débouchera sur un séminaire thématique structuré de la façon suivante : une synthèse sur le thème abordé, quelques exposés et une table ronde. Réunissant chercheurs et praticiens du soutien de la recherche, ils fourniront l’opportunité d’un travail collectif au sein de groupes de travail chargés de leurs préparations.

Comité scientifique et de pilotage et groupes de travail

Le cœur du réseau envisagé est constitué en tant que « comité scientifique et de pilotage ». Il définit et valide le programme des ateliers. Pour chaque atelier, il définit et met en place un groupe de travail réunissant cinq à dix personnes, avec une recherche d’équilibre entre les préoccupations suivantes :

  • acteurs (chercheur ou praticien) des sciences de l’information / communication,
  • acteurs (chercheur ou praticien) de l’ingénierie,
  • spécialistes en psychologie cognitive ou sociologie des usages,
  • chercheurs de domaines scientifiques.

Les membres du comité peuvent participer à ces groupes de travail.

Organisation des ateliers

Chaque atelier est donc organisé par un groupe de travail qui fonctionne ainsi :

  1. Définition et analyse d’une prestation de type veille sur le sujet (identification des acteurs et problématiques majeures) ;
  2. Identification de la terminologie demandant un approfondissement collectif (par exemple termes anglo-saxons à franciser) et lancement de forums ;
  3. Pour une partie des ateliers, organisation d’une mission à l’étranger ;
  4. Rédaction des documents (exposé de synthèse et rapport de mission) ;
  5. Organisation du séminaire final (choix des conférenciers…) ;
  6. Présentation publique lors du séminaire ;
  7. Rédaction d’un compte-rendu de la table ronde ;
  8. Constitution d’une présentation de synthèse (20 minutes à une heure) pouvant être présentée par n’importe quel membre du groupe de travail ;
  9. Éventuellement, soumission d’article à un colloque ou à une revue.

Chaque atelier donne lieu à des actes qui sont élaborés en 2 temps :

  1. Une version provisoire distribuée lors du séminaire (photocopies)
  2. Une version en ligne (dans un mode hypertexte) qui inclut :
    1. L’ensemble des supports distribués lors du séminaire
    2. L’ensemble des documents élaborés par le groupe de travail.

Programme des ateliers

L’idée serait d’organiser des cycles de 3 ateliers par an, en traitant successivement trois niveaux d’appropriation ou de pratiques :

  • 1 Individuel, par exemple :
    • a. Ecriture numérique d’articles scientifiques (hypertextes, multimédia, simulation…).
    • b. Utilisation de techniques d’analyses statistiques ou visualisation dans des fonds d’informations scientifiques volumineux.
  • A ce niveau, nous souhaitons travailler à la mise en place de mécanismes d’observation des processus cognitifs impliqués.
  • 2 Collectif, par exemple :
    • a. Ecriture collective d’articles scientifiques, création de communautés de chercheurs autour du document scientifique ou de la mutualisation de données scientifiques.
    • b. Les équipes de recherche dans leur environnement scientifique : comment repérer leurs niches et leur communauté ?
    • c. Comment ces communautés peuvent réaliser un travail d’évaluation dans le cadre d’archives ouvertes ?
  • A ce niveau, nous souhaitons travailler à la mise en place de mécanismes d’observation des équilibres sociologiques.
  • 3. Institutionnel, par exemple :
    • a. Quel modèle pour les sociétés savantes à l’ère du numérique et de la mondialisation ?
    • b. Comment faire entrer l’information numérique scientifique dans le processus de valorisation de la recherche ?

Dans chaque atelier, on veillera à introduire une ou plusieurs composantes thématiques (par exemple la chimie).

Ce travail sera initialisé fin 2007 par un séminaire d’introduction (à Nancy) :

  • Il pourrait notamment s’appuyer sur une synthèse des travaux du colloque CIDE 2007 qui aura lieu à Nancy INIST en Juillet 2007[13] .
  • Exposés de chacun des principaux participants sur ses attentes ou sur sa vision des enjeux liés à l’information numérique.
  • Exposés des psychologues et sociologues sur leurs contraintes vis-à-vis des mécanismes d’observation.

Ensuite, chaque atelier serait pris en charge par une unité avec alternance « Nancy – Metz », Paris et « Lyon – Grenoble ».

Option colloque ou mission à l’étranger

Pour une partie des séminaires, nous souhaitons organiser une mission à l’étranger, à laquelle participerait une partie d’un groupe de travail. Voici quelques exemples envisagés :

  • Mission d’étude sur l’organisation britannique (UKOLN, DCC) ;
  • Colloque du DCMI (Dublin Core Metadata Initiative) ;
  • Mission d’étude sur les résultats du réseau NSDL ;
  • Mission d’étude sur les outils d’infométrie et de visualisation de l’information.

Les ateliers, un espace d’expérimentation des usages

Le travail dans les ateliers fournit une occasion d’application de nouveaux usages,

  • Rédaction de certains articles en écriture numérique, avec notamment la prise en compte de publics différents (chercheurs du domaine, praticiens ou industriels, chercheurs d’autres domaines)
  • Utilisation d’outils collectifs (notamment vidéo conférence) pour le travail préparatoire,
  • Observation de pratiques individuelles (avec intervention de cogniticiens) :
    • utilisation d’outils infométriques en phase initiale
    • rédaction hypertextuelle et utilisation d’éditeurs pour l’écriture numérique.
  • Observation de pratiques collectives :
    • Missions et comptes rendus rédigés collectivement,
  • Discussions terminologiques.

Pour focaliser les réflexions, un premier sujet d’approfondissement théorique envisagé est « le modèle conceptuel véhiculé par les hypertextes, si on se place au niveau collectif, ou celui du modèle de l'utilisateur si on se place à un niveau individuel ».

Résultats Attendus

Un premier résultat attendu par cette réponse est une meilleure structuration de la communauté scientifique concernée par l’information numérique, sa technologie et son appropriation par la communauté scientifique. Parmi les déclinaisons de cet objectif nous trouvons :

  • la possibilité de lancer des actions de recherche au sein de la communauté nationale ;
  • une meilleure réactivité pour réagir aux appels d’offres de l’ANR ou européens ;
  • une réflexion sur la mise en place d’un espace d’observation des pratiques.

Dans ce cadre, un premier travail théorique et collectif concernera les modèles véhiculés par les hypertextes.

Les nouvelles contraintes économiques introduites par la mondialisation et les publications en libre accès bouleversent les équilibres qui s’étaient instaurés entre les institutions de la recherche, les acteurs de l’édition et les sociétés savantes. Nous allons ici concrétiser ces réflexions autour de deux actions :

  • la création d’un cycle régulier d’ateliers à visibilité nationale ;
  • la création d’une collection éditoriale de dossiers thématiques.

Nous irons au-delà des simples aspects économiques ou organisationnels pour introduire également une dimension technologique comme l’utilisation de mécanismes d’écriture numérique ou hypertextuelle.

Partenariat

Cette réponse à l’appel à proposition est portée par l’INIST, qui apporte l’infrastructure éditoriale et organisationnelle et sert de point d’entrée vers les communautés ARTIST/AMETIST. L’INIST assure ici un positionnement de type « infrastructure de société savante » Les services de l’INIST seront également représentés, au titre d’acteurs du soutien de la recherche.

Nous avons également cherché à impliquer plus directement deux pôles géographiques : Paris représenté par le laboratoire Paragraphe de l’Université Paris 8, et « Lyon - Grenoble » représenté par ELICO (ERSICOM), agissant également pour le compte de la MSH Alpes du CCSD et du MI2S. En cas de succès du projet, ce réseau sera amené à se développer progressivement.

Nous avons également veillé à enrichir la communauté avec une implication de psycho cogniticiens et de sociologues des usages (ETIC, Paragraphe, ELICO, MSH Alpes). Leur implication présente un aspect particulier dans la mesure où ils devront nous aider à adapter le fonctionnement des ateliers pour y laisser une place à l’observation et où ils auront à conduire une réflexion scientifique continue.

Il nous est également paru important de favoriser la synergie des acteurs lorrains compte tenu de la situation particulière liée à l’INIST. Le service commun de valorisation de Nancy Université, agit ici pour le compte des partenaires régionaux de toutes origines, porteurs de projets ou experts en sciences de l’information et technologies associées (LORIA, ATILF, LSGC, Laboratoire de Philosophie et d'Histoire des Sciences-Archives Henri-Poincaré). Il apporte également une aide dans la recherche d’expertises dans les divers domaines scientifiques et ouvre une réflexion sur la valorisation et le transfert de technologie. Si l’expérience s’avère positive, on pourra envisager une implication analogue dans les autres pôles régionaux.

Instances scientifiques et de pilotage

Nous aurons à mettre en place des instances scientifiques et de pilotage. Pour cela nous partirons d’un premier noyau parmi les personnes qui ont été impliquées dans la rédaction de cette réponse :

  • Francis André (INIST),
  • Javier BARCENILLA (laboratoire ETIC, Université de Metz),
  • Amos DAVID (LORIA équipe SITE et Univ. Nancy 2),
  • Jean DELLA-DORA (MI2S Grenoble),
  • Jérome DINET (laboratoire ETIC, Université de Metz),
  • Jérome EMONOT (Service Commun de Valorisation - INPL),
  • Claire François (INIST),
  • Muriel FOULONNEAU (CCSD),
  • Jacques DUCLOY (INIST),
  • Gerhard HEINZMANN (Laboratoire de Philosophie et d'Histoire des Sciences-Archives Henri-Poincaré),
  • Joanna JANIK (MI2S – Grenoble),
  • Audrey Knauf (LORIA et relations avec NANCIE),
  • Sylvie LAINE-CRUZEL (Laboratoire ELICO et Université de Lyon 3),
  • Thierry LAMBERT (Service Commun de Valorisation – Univ. Nancy 2),
  • Jean-Charles Lamirel (LORIA équipe CORTEX et Univ. Robert Schuman, Strasbourg),
  • Philippe MALLEIN (MSH-Alpes),
  • Frédérique PEGUIRON (SCD Nancy et LORIA-SITE),
  • Jean-Marie PIERREL (ATILF), Imad SALEH (Laboratoire Paragraphe et Université Paris 8), *Bernhard RIEDER (Laboratoire Paragraphe et Université Paris 8),

%Joachim Schöpfel, (INIST),

  • Jean-Pierre THOMESSE (Service Commun de Valorisation de Nancy Université et LORIA),
  • Valérie WARTH (Département de Chimie Physique des Réactions, UMR 7630, NANCY).

Par la suite, nous utiliserons notamment le cycle des ateliers pour construire ces instances. Par exemple, chaque atelier aura son président qui fera assez naturellement partie du comité scientifique. Nous définirons nos modes de fonctionnement dans le cadre de la préparation du premier séminaire (qui sera présidé par Jacques Ducloy et Jean-Pierre Thomesse).

Notes

  1. National Science Digital Library
  2. ATKINS D, Blue-Ribbon Advisory Panel on Cyberinfrastructure, Rapport de la « National Science Foundation », 2003.
  3. WELSHONS M. "Our Cultural Commonwealth" The Report of the American Council of Learned Societies Commission on Cyberinfrastructure for the Humanities and Social Sciences. Connexions. 15 Dec. 2006 < http://cnx.org/content/col10391/1.2/>.
  4. Le JISC (Joint Information Systems Committee), dont les missions concernent l’utilisation des TIC dans l’enseignement supérieur et la recherche, organise des actions de conseil, de financements et de pilotage.
  5. Le DCC (Digital Curation Centre) est un organisme créé à l’initiative du JISC pour la pérennisation et la réutilisation des données numériques produites par la recherche.
  6. UKOLN (UK Office for Library and Information Networking) est une autre création du JISC. C’est un espace d’expertise et de travail coopératif entre chercheurs et praticiens de l’information scientifique.
  7. ESFRI, European Roadmap for Research Infrastructures – Report 2006, < htt://www.cordis.europa.eu/esfri/ >
  8. http://artist.inist.fr
  9. Conférence Internationale sur le Document Electronique, (http://cide10.inist.fr)
  10. Veille Scientifique Stratégique et Technologique (http://atlas.irit.fr/COLLOQUES/VSSTJEU.htm )
  11. Dublin Core Metadata Initiative, dont nous animons la liste DCMI-FR pour les aspects recherche.
  12. http://ametist.inist.fr
  13. Le texte de l’appel à proposition de l’ISCC, dans l’axe 4, volet Le document numérique dans le monde de la science et de la recherche reprend d’ailleurs textuellement une partie de l’appel à communication du colloque CIDE