Antonín Dvořák : Différence entre versions

De Wicri Europe
imported>Jacques Ducloy
(Voir aussi)
 
Ligne 24 : Ligne 24 :
 
{{Wicri voir|dec=Compositeur}} Ce compositeur est cité sur les wikis :
 
{{Wicri voir|dec=Compositeur}} Ce compositeur est cité sur les wikis :
 
* {{Wicri lien|wiki=Musique}} - ''principaux développements''
 
* {{Wicri lien|wiki=Musique}} - ''principaux développements''
 +
* {{Wicri lien|wiki=Wicri}} - ''simple introduction''
 
* {{Wicri lien|wiki=Lorraine}} - ''en relation avec des expositions ou manifestations en Lorraine''
 
* {{Wicri lien|wiki=Lorraine}} - ''en relation avec des expositions ou manifestations en Lorraine''
 
* {{Wicri lien|wiki=Base 1.28}} - ''test modèle personnalité''
 
* {{Wicri lien|wiki=Base 1.28}} - ''test modèle personnalité''

Version actuelle datée du 29 mai 2021 à 08:03

Test de création de nom de page en UTF 8

Antonín Dvořák
Antonín Dvořák
Naissance : Nelahozeves
8 septembre 1841
Décès : Prague
1er mai 1904

Voir aussi

Dans le réseau Wicri :

La page de référence « Antonín Dvořák » est sur le wiki Wicri/Europe.


Antonín Leopold Dvořák (1841-1904) est un compositeur tchèque.

Point de vue biographique

Ce texte est extrait de la présentation de l'exposition Le Phénomène Martinù et la musique tchèque[1]

Successeur et continuateur de Smetana dans le style national tchèque, il est sans aucun doute le compositeur tchèque le plus joué à travers le monde. Il connut le succès à partir de 1878 quand un éditeur berlinois publia ses Duos moraves. Ses premières œuvres se distinguent par leur slavophilisme : Danses slaves, Rhapsodies slaves et un opéra Dimitri. Sa renommée se propage en Angleterre, où son Stabat Mater rencontre un grand succès. Invité à diriger le conservatoire de New York, il arrive en Amérique pour le 400e anniversaire de sa découverte et compose pour l’occasion un Te Deum. Son séjour est inspirant : un Quatuor dit américain et sa Symphonie du Nouveau Monde, son chef-d’œuvre d’un lyrisme élevé et d’une technique achevée. Il revient en 1895 en Bohême, où il est nommé directeur du Conservatoire de Prague et se tourne vers les thèmes romantiques tchèques : il compose les poèmes symphoniques L’Ondin, La Fée du midi, Le Rouet d’or et Le petit pigeon. Il reprend des contes de fées dans les opéras Le Diable et Catherine, l’Ondine et Armide.

Voir aussi

Notes
  1. texte de Lenka Froulikova pour une exposition organisée en mars 2010 à la Bibliothèque universitaire de lettres et sciences humaines (BUL) de Nancy, par Frédérique Péguiron.
Dans le réseau Wicri :

Ceci est la page de référence de « Antonín Dvořák » Ce compositeur est cité sur les wikis :

Liens externes
Antonín Leopold Dvořák sur