Coopération technique

De IHEST France Brésil

Note : cet article est une version révisée de l’article Collaboration technique

La coopération technique triangulaire <br\><br\>

De quelle manière la coopération technique horizontale / verticale peut-elle servir d’outil pour une diplomatie plus affirmée avec le Sud, dans le cadre d’une relation Nord – Sud (France, Union Européenne) ou d’une relation Sud – Sud ?

Quelles formes de coopération triangulaire impliquant la France et le Brésil, notamment via l’Afrique, se mettent en place ?

Depuis les années 1970, mais de façon accrue depuis les années 2000, le Brésil a signé un certain nombre d’accords de coopération technique avec les pays du Sud : 236 projets et activités ponctuelles de coopération technique dans 58 pays en développement d’Amérique latine, des Caraïbes, d’Afrique et d’Asie (Timor oriental, Afghanistan…).

Par ailleurs il est indéniable que la montée en puissance du Brésil au niveau diplomatique est liée à sa plus grande articulation avec les autres pays émergents.

À côté des relations commerciales et des actions conjointes dans les organisations internationales, quelle place prend la coopération scientifique et technique dans les relations Sud – Sud ? Entre « diplomatie solidaire » et « stratégie d’influence », comment cet outil sert-il le Brésil pour renforcer ses relations diplomatiques avec les pays émergents et d’autres pays moins avancés ?

=> Zoom sur la place croissante de l’Afrique dans ces relations :

Le Ministère de la Science, de la Technologie et de l’Innovation (MCTI) et le Ministère des Relations Extérieures (MRE) ont mis en place un certain nombre de programmes d’échanges et de soutien avec l’Amérique du Sud ([Sul-Americano de Apoio às Actividades de Cooperação em Ciência e Tecnologia – Pro-Sul]) et avec l’Afrique pour la [des énergies renouvelables]