Roland à Roncevaux (Larousse - G.D.U. XIXe siècle)

De Wicri Chanson de Roland
Pierre Larousse Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle.png Grand Larousse du XIXe siècle (2).JPG

Cet article est extrait du Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle.

Il décrit l'opéra Roland à Roncevaux d'Auguste Mermet.

Rédigé dans les années 1870, sa lecture mérite d'être contextualisée pour un lecteur du XXIe siècle.

Avant-propos

De la rédaction Wicri

Cet article est extrait du tome 13 publié en 1875.

L'article du dictionnaire offre trois partitions musicales. Deux sont bien relatives à l'opéra de Mermet. En revanche, une autre est extraite d'un opéra de Piccinni.

Nous avons donc intégré un ensemble de facsimilés en fin d'article :

  • les 2 pages du Grand dictionnaire contenant la description de l'opéra ;
  • 2 pages correspondant au premier passage musical, issu du final de l'acte III ;
  • 2 pages correspondant au deuxième passage musical, issu de l'opéra de Piccinni ;
  • 2 pages correspondant au premier passage musical, issu de l'acte I de Mermet.

L'article

Extrait 1 (final)


\new Staff \with {
  midiInstrument = "voice oohs"
  } {
  \relative c' {  
   \clef "treble_8"
   \time 4/4 \key c \major 

   r2 r4 r8 r16 e16
   \bar ".|:" 
\mark \markup { \musicglyph #"scripts.segno" }
   e2~ \tuplet 3/2 { e8 c d } e8. f16
   e2~ \tuplet 3/2 { e8 d c } b8. c16
   d2~ \tuplet 3/2 { d8 b c } d8. f16
   e2  c8 r8 r8 r16 e16

   e2~ \tuplet 3/2 { e8 c d } e8. f16
   e2~ \tuplet 3/2 { e8 c d } b r16  d16
   d8 r16 <d f>16 <f a>2 <e g>8 r16 <c e>16
   <b d>4 r4 \tuplet 3/2 {r8 d d}  \tuplet  3/2 {d8 d d}
   <c fis>2 <b g'>4 r8 r16 <d f>16

   <d f>4~ \tuplet 3/2 {<d f>8 <b d> <c e> } <d f>4 r8 r16 e
   e4~ \tuplet 3/2 { e8 c d } e4 r8  r16 <d f>16
   <d f>4~ \tuplet 3/2 { <d f>8 <cis e> <d f> } <f aes>4~  \tuplet 3/2 { <f aes>8  <ees g>8 ( <d f> ) }
   <c ees>4~  \tuplet 3/2 { <c ees>8 <g d'> <ees c'> } g4 r8 r16 e'16
   e2~ \tuplet 3/2 { e8 c d } e8. f16

   e2~ \tuplet 3/2 { e8 d c } b8. c16
   d2~ \tuplet 3/2 { d8 b c } d8. f16
   e2 c8 r8 r8 r16 c16
  <a f'>2~ <a f'>8 r16 <a f'>16 <a c>8. <a c>16
  <g e'>2 <g e'>8 r8 r8 r16 c16

  <c fis>2~ <c fis>8 r16 <c fis>16 <c fis>8. <c fis>16 
  <b g'>8  <b g'>8 <g' b>8. <f a>16 <e g>8 (<d f>)  <cis e>8  ( <d f> )
  <f a>8 ( <e g> ) <c e>8. <g b d>32 ( <c e>32 ) <g b d>4... \mark \markup { \musicglyph #"scripts.coda" } <e c'>32

  <e c'>4 r4 \tuplet 3/2 {r8 c' c} \tuplet 3/2 {c8 c c} 
   c8 r16 c16 \tuplet 3/2 {c8 c c} c8 r16 c16      \tuplet 3/2 {c8 c c} 

   <c ees>2  \tuplet 3/2  { <b d>8 d d } \tuplet 3/2  { d8 d8. d16 } 
   d8 r16 d16 \tuplet 3/2 {d8 d d} d8 r16 d16      \tuplet 3/2 {d8 d d} 
   <d f>2 \> <cis e>8 \!  r16 a16  \tuplet 3/2 {a8 a a}
   f'2 e8 r8 r4
   r2 \tuplet 3/2 {r8 r d} \tuplet 3/2 {d8 d d}
  
   a'1
   g8 r8 aes8 r16 g16 f8 r8 f8 r16 ees16
   d8 r8 aes'8 r16 g16 f8 r8 f8 r16 ees16
   d8 g8 fis8. g16 aes8 g fis8. g16
   g8 g8 b8. a16 g8 f8 e8. d16

   c4 r4 r2
   r2 r4 r8 r16  \mark \markup { \musicglyph #"scripts.segno" } e16
   \bar ":|." \break
   < e, c'>4 \mark \markup { \musicglyph #"scripts.coda" } r2 r4
   r8 e'16 e16 e4 r8 e16 e16 e4
   r8 r16 e16 e4~ e8 e8 e8. e16

   <e gis>1
   e8 e16 e16 e4 r8 e16 e16 e4
   r8 r16 e16 e4~ e8 e8 e8. e16
   <e gis>1
   <e gis>8 r8 r4 r4 r8 r16 c16

   <eis a>2~ <eis a>8 r8 r8 r16 <eis a>16
   <e! g>2~ <e g>8 <e g>8 <e g>8. <e g>16
   <a, c e>1 \fermata 
   c8 r8 r4 r2
  }
}
 \addlyrics { 
  Ré -- pè -- te à l'em -- pe -- reur
  No -- tre  cri vain -- queur
  Voix de la mon -- ta -- gne
  Ré -- pè -- te à l'em -- pe -- reur
  No -- tre cri vain -- queur
  Mal -- heur aux paï -- ens
  Et vi -- ve Char -- le -- ma -- gne
  Frap -- pons, im -- mo --lons, Paï -- ens et fé -- lons
  Et dans Ron -- ce -- vaux Creu -- sons leurs tom -- beaux
  Ré -- pè -- te à l'em -- pe -- reur
  No -- tre  cri vain -- queur
  Voix de la mon -- ta -- gne
   Mont -- joie et Char -- le -- ma -- gne!
  Mont -- joie et Char -- le -- ma -- gne!
  Au com -- bat san -- glant
  Nous sui -- vrons Ro -- land
 Ré -- pète à l'em -- pe -- reur
 No -- tre  cri vain -- queur
  Voix de la mon -- ta -- gne
 Ré -- pète à l'em -- pe -- reur
 No -- tre  cri vain -- queur
  Voix de la mon -- ta -- gne
 Voix de la mon -- ta -- gne
 Voix de la mon -- ta -- gne
 Oui!
 Frap -- pons ces paï -- ens 
 Oui!
 Frap -- pons les paï -- ens 
  Ex -- ter -- mi -- nons les sar -- ra -- sins
  Ex -- ter -- mi -- nons les sar -- ra -- sins
  Ré
  land!  En a -- vant! en a -- vant!
 Mont -- joie et Char -- le -- ma -- gne!
 En a -- vant! en a -- vant!
 Mont -- joie et Char -- le -- ma -- gne!
 Mont -- joie!
 Mont -- joie et Char -- le -- ma -- gne!
}

Roland à Roncevaux

Roland à Roncevaux, Opéra en quatre actes, paroles et musique de M. A. Mermet ; représenté à l’Académie nationale de musique le 3 octobre 1864. De tous les guerriers que les légendes du cycle carlovingien ont rendus célèbres, le paladin Roland était le personnage le plus propre à figurer sur notre première scène lyrique. Il se présentait déjà entouré de l’auréole brillante des fictions de la poésie, et l’auteur du livret n’a eu qu’à disposer dans une suite de scènes les principaux épisodes du poëme en langue franco-normande de Théroulde, intitulé : la Chanson de Roland.

Le comte Ganelon, envoyé en Espagne par Charlemagne pour faire aux Sarrasins des propositions de paix, commence par rendre la liberté à la fille de l’émir de Saragosse, Saïda, qu’il retenait prisonnière. Une belle châtelaine, Alde, éprise en secret des exploits de Roland, repousse les offres de Ganelon, qui veut l’épouser malgré elle. Les deux femmes, qui se sont liées dans leur malheur par des sentiments d’amitié, se concertent pour empêcher cette union que doit bénir 1'archevêque Turpin. Un violent orage force Roland à accepter l’hospitalité dans le château. Il est accueilli par Alde comme un libérateur, et il pourrait s'apercevoir de la passion qu’il inspire si son « cœur d’acier » n’était resté jusqu’alors volontairement inaccessible à l’amour. Apprenant que Ganelon veut opprimer une faible femme, il le provoque et lui ferait payer cher sa félonie, si l’archevêque n’arrêtait leurs bras au nom de Charlemagne. Ganelon se dispose à enlever la belle châtelaine ; mais Saïda vient au secours de son amie et lui offre, auprès de l'émir son père, un asile qu’elle accepte.

Le second acte transporte la scène dans le palais de l’émir. Celui-ci se soumet en apparence aux conditions dictées par Charlemagne. Roland, malgré le serment qu’il a fait de ne jamais se laisser surprendre par l’amour, ne peut résister aux beaux yeux de la châtelaine. Ganelon, en proie à la jalousie et à la fureur, n’hésite plus à consommer la plus noire trahison. Il forme avec l’émir le dessein de surprendre le paladin dans le défilé de Roncevaux. Roland et les douze pairs conduisent l’arrière-garde de l’armée, qui doit quitter l’Espagne pour retourner en France.

La scène, au troisième acte, représente le vallon de Roncevaux. Le paladin raconte à l’archevêque Turpin comment sa fameuse épée Durandal est venue en sa possession et à quelle condition elle doit rester invincible. Il lui confesse qu’il n’est plus maître de son cœur. Turpin lui conseille de rester fidèle à son serment et d’oublier la femme dont il est épris. Roland est agité de mille pensées contraires ; Alde n’a que lui pour protecteur, et il l’aime. Un pâtre vient annoncer que le val est cerné par les ennemis ; les soldats francs accourent et crient à la trahison. Les douze pairs pressent Roland de sonner de son cor d’ivoire pour avertir Charlemagne du danger qui les menace. Le guerrier refuse :

Quelle honte m’est proposée !
Ne plaise à Dieu qui fit ciel et rosée
Que pour des Sarrasins je sonne l’olifan.

L’archevêque bénit les combattants, et tous se précipitent sur les pas de Roland.

Au quatrième acte, qui n’est à proprement parler qu’un tableau, Roland vient de tuer le traître Ganelon ; mais, mortellement blessé, c’est au milieu des cadavres qui jonchent la terre qu’il sonne enfin de son cor d’ivoire ; il succombe. Charlemagne apparaît au fond du théâtre pour voir le corps de son neveu emporté sur les boucliers. En présence d’un livret si bien conçu pour l’effet théâtral, il y a peu d’intérêt à en signaler les anachronismes et les inexactitudes historiques, à rappeler, par exemple, que ce furent les Vascons, et non les Sarrasins, qui exterminèrent l’arrière-garde de l’armée de Charlemagne en 778.

L’opéra de M. Mermet a réussi de prime abord, grâce au caractère français et sympathique du sujet, et ensuite à la clarté du style musical, à l’allure martiale, franche et décidée des périodes mélodiques. On ne saurait assurément mettre Roland en parallèle avec les grands ouvrages du répertoire : la Juive, les Huguenots, Guillaume Tell ; il ne saurait non plus soutenir la comparaison avec les principaux ouvrages de Donizetti, de Bellini, de Verdi, avec Lucu, la Favorite, Norma, le Trouvère ; mais il peut être classé au premier rang des opéras du troisième ordre, qui ont mérité du succès à cause de certaines qualités saillantes. Dans Roland, on remarque peu ou point de situations tendres ; il n'y a ni duos ni cavatines, ni même de ces ensembles à deux et trois mouvements qui sont pour l’auditeur une source d’impressions variées. L’inspiration du compositeur est entraînée comme fatalement vers l’accent guerrier, la force rythmique et la sonorité. Le corps de l’ouverture est peu dessiné. Des appels fréquents de trompettes, une marche guerrière donnent le ton général de l’ouvrage. Les morceaux les plus saillants du premier acte sont : la Chanson de Roland, dite par un pâtre, et le final, dont la mélodie est large et puissante d’effet : Superbes Pyrénées. Cette Chanson de Roland n’a aucune couleur historique. Il semble qu’elle aurait dû fournir le thème principal de l’ouvrage. On sait le parti que Meyerbeer a tiré du Choral de Luther dans les Huguenots. La Chanson de Roland, que Taillefer entonna en 1066 avant la bataille d’Hastings, était une sorte de plain-chant d’un caractère héroïque et religieux, d’ailleurs très-favorable au développement musical. Dans le second acte, nous signalerons le chœur du complot : Roncevaux, vallon triste et sombre, dont la phrase mère est fort belle, mais qui est développée d’une manière insuffisante. Le troisième acte, qui a décidé du succès de l’œuvre, renferme de beaux fragments : la chanson mélancolique du pâtre, un chant de guerre, une farandole dont les ondulations serpentent dans la montagne et descendent sur la scène sur un motif de danse fort animé ; la lecture de la devise gravée sur l’épée Durandal : Je suis Durandal, du plus dur métal ; la scène de la confession, un bon trio entre Turpin, Roland et Alde, et le finale : En avant. Montjoie et Charlemagne.' Les rôles de cet opéra ont été créés par Gueymard, Belval, Cazaux, Warot, Mme Gueymard et Mlle Camille de Maesen.


Deuxième extrait musical

Nous donnons l’air de Médor : Je vivrai, si c’est votre envie :




\new Staff \with {
  midiInstrument = "voice oohs"
  } {
  \relative c'' {  
 
   \time 3/4 \key e \major 
\tempo "Andante sostenuto"
   r4 r4 b8. a16
   \appoggiatura a8 gis2 r8 b
   b4 e8 (dis) cis (b)
   b8. cis16 b4 r4
   r4 r4 cis8. b16

   \appoggiatura b8 a2 r8 a8
   dis4. (e8) fis8  a,8 
   f4 (gis) r8 b8
   e4. (b8) a8 gis8 
   b8. ( gis16 fis4) 

   b16 (gis) a (fis)
   e4. fis16 gis fis8 e16 (dis)
   e2 e'16 (b) cis (a)
   gis4. a16 b cis8 b16 (a)
   gis4 e'8 dis cis b

   ais4 b dis
   cis8 (ais fis4) r4 
   r4 fis'8 dis b a
   g16 (e') d cis b4 (cis
   b4 ) r4  cis8. b16

   \appoggiatura b8 a2 b8. a16
   \appoggiatura a8 gis2 r8 b8
   e8 (dis) cis (b) a (gis)
   b8. gis16 fis4 r4
   r4 r4 b8 a
   
   \appoggiatura a8 gis2 r8 b8
   b4. (d8) cis8 b
   gis4 (a) r8 cis
   cis4. (e8)  dis cis 
   ais4 (b) b8 b8

   e4 (e16 dis)  cis16 b16 a16 (gis16) fis16  (eis)
  \appoggiatura eis8 fis2 a8 a8
  fis'4~ fis16 (e16) dis16 cis b (a) gis (a)
    \appoggiatura a8 gis4  b8 gis fis eis
  f16 (cis') b a gis4 (a)
  
  e4 r4 b'8 b8
  b4.  cis16 dis16 e (dis) cis (b)
  b8. (cis16) b4 e16 (dis) cis b
  b4. (bis8) cis16 b a gis
  gis16 (fis) a16 cis e,4 (fis
  
  \appoggiatura fis8 gis2) e'16 dis cis b
  cis8 d16 e16 gis,4 (fis)
  e4 r r
   
  }
}
 \addlyrics { 
  je vi -- vrai
  si c'est vo -- tre_en -- vi - e;
  Je vous vois, mon sort est trop doux
  Mon sort est trop doux;
  Mais s'il faut m'é -- loi -- gner de vous;
  Mais s'il faut m'é -- loi -- gner de vous;
  Je ne ré -- ponds pas de ma vie;
  Je ne ré -- ponds pas de ma vie;
  Je vi -- vrai, je vi -- vrai
  si c'est vo -- tre_en -- vi - e;
  Je vous vois, mon sort est trop doux
  mon sort est trop doux!
  Mais s'il faut m'é -- loi -- gner de vous 
  Mais s'il faut m'é -- loi -- gner de vous 
  Je ne ré -- ponds pas de ma vi -- e!
  Mais s'il faut m'é -- loi -- gner de vous 
 Je ne ré -- ponds pas, Je ne ré -- ponds pas de ma vie,
  Je ne ré -- ponds pas de ma vi -- e!
  }

Troisième extrait musical

Nous donnons encore la chanson de Roland : Dans les combats, etc.


Refrain


\new Staff \with {
  midiInstrument = "voice oohs"
  } {
  \relative c'' {  
 
   \time 2/4 \key g \major 
   b4 d8. c16
   b4.  g16 ( a )
   b4. c8
   b4 a8 r8
   a4 b8 c
   d8 d8 g8. b,16
   d4.. c16
   a4 R8 r 16 b16
   b4 d8. (c16)
    b4. a16 (b)
   c8. e16 e4
   a,8. a16 b8 c
   d8 d g8. e16
   d8 b b a16 (b)
   d4.. g,16
    g8 r8 r4
 }
}
 \addlyrics { 
     Dans les com -- bats, sol -- dats de Fran -- ce,
     Des preux chan -- tez, chan -- tez le plus vail -- lant
     Tout fuit quand il bran -- dit sa lan -- ce!
    Chan -- tez sol -- dats
    Chan -- tez Ro -- land
    Sol -- dats, chan -- tez Ro -- land!
  }

Couplets

Première strophe

\new Staff \with {
  midiInstrument = "voice oohs"
  } {
  \relative c'' {  
 
   \time 2/4 \key g \major 
   r2
   r4 r8 g8
   e'4.. f16
   e8. d16 c8 d8
   e2
   c8 r8 r8 g8
   e'4.. f16
   e8 g, g'8. f16
   e2
   e8 r8 r4
   d4 d8. c16
   e8 r8 e8. (fis!16)
   fis4.. fis16
   e4 r4
   e4.. (d16 )
   fis8. e16 d8. e16
   fis4.. e16
   d4 r4
 }
}
 \addlyrics { 
     J'en -- tends au loin dans les cam -- pa -- gnes
     Per -- çant les bois et les mon -- ta -- gnes
     Des en -- ne -- mis gla -- çant le cœur 
     Son cor d'i -- voi -- re_au son vain -- queur.
  }


DEUXIÈME STROPHE.

La-bas, dans la plaine sanglante,
Brille une épée étincelante,
Rouge comme un soleil couchant ;
C’est Durandal au dur tranchant 1
Dans les combats, etc.


Facsimilés

Le Grand Dictionnaire

Page145-4267px-Larousse - Grand dictionnaire universel du XIXe siècle - Tome 13, part. 4, Rhy-Rz.djvu.jpg
Page146-4267px-Larousse - Grand dictionnaire universel du XIXe siècle - Tome 13, part. 4, Rhy-Rz.djvu.jpg

Extrait de l'opéra de Mermet (page 29 Acte III scène VII)

Roland à Roncevaux, Mermet, Opéra Choudens 1864 page 259.jpg
Roland à Roncevaux, Mermet, Opéra Choudens 1864 page 260.jpg

Extrait de l'opéra de Piccinni

Roland Opéra Piccinni 1778 page 235.jpg
Roland Opéra Piccinni 1778 page 236.jpg

Extrait de l'opéra de Mermet (page 29 Acte I scène II)

Roland à Roncevaux, Mermet, Opéra Choudens 1864 page 29.jpg
Roland à Roncevaux, Mermet, Opéra Choudens 1864 page 30.jpg

Voir aussi

Source
https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Larousse_-_Grand_dictionnaire_universel_du_XIXe_si%C3%A8cle_-_Tome_13,_part._4,_Rhy-Rz.djvu/145