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Prolégomènes à une critique du génie logiciel

De Wicri Informatique
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Auteurs
Ivan Maffezzini, Alice Premiana et Bernardo Ventimiglia
Affiliations
Université du Québec à Montréal

Prolégomènes à une critique du génie logiciel est le nom d'une série de quatre articles publiés dans la revue Génie logiciel

Résumé des quatre articles

Le présent article est le premier d'une série de quatre où il est tenté montrer que le génie logiciel (GL) ne peut aspirer à devenir l'un des centres - robuste - des activités d'automatisation que si les branches hypertrophiées par les vicissitudes historiques et les conflits économiques sont élaguées. Après une mise au point terminologique et une description de ce que les auteurs appellent la chaîne d'automatisation, sont énoncés les deux principes qui sont selon les auteurs à la base de l'automatisation. Suivent une courte histoire du génie logiciel, des principes additionnels et une synthèse de l'organisation du génie logiciel tirée de SWEBOK et des normes d'IEEE.
Partie II : Qualité et mesures des produits
Le présent article est le deuxième d'une série de quatre où nous tâchons de montrer que le génie logiciel (GL) ne peut aspirer à devenir l'un des centres - robuste - des activités d'automatisation que si les branches hypertrophiées par les vicissitudes historiques et les conflits économiques sont élaguées. Dans le premier nous avons « arbitrairement » fixé les principes qui soutiennent notre démarche. Dans cet article ci nous abordons les « problèmes » liés à la qualité et en particulier aux métrologies de la qualité en introduisant le modèle proposé par la norme ISO 9126-2001. Les mesures des attributs de la facilité de maintenance nous permettront de douter du bien fondé des définitions actuelles de la maintenance. Nous considérerons en suite le couplage comme un exemple de la difficulté de transformer une idée intuitivement valide en un concept mesurable. Nous terminerons en proposant une piste pour fonder la métrologie de qualité en se fondant sur une relecture de la théorie ontologique de Mario bunge. Cinq encadrés (concepts de l'ontologie de Bunge, notes bibliographiques, terminologie, la physique vue par le génie logiciel et un dialogue sur la complexité cyclomatique) compléteront l'article.
Partie III Interfaces
Le présent article est le troisième d’une série de quatre où nous tâchons de montrer que le génie logiciel (GL) ne peut aspirer à devenir l’un des centres – robustes – des activités d’automatisation que si les branches hypertrophiées par les vicissitudes historiques et les conflits économiques sont élaguées. Dans le premier article, nous avons « arbitrairement » fixé les principes qui soutiennent notre démarche. Dans le deuxième, nous avons essayé de mettre en évidence un certain manque dans le domaine de la qualité et des mesures logicielles. Dans cet article, nous considérerons l’automatisation du point de vue des interfaces, en particulier du point de vue des connaissances dont on a besoin pour les spécifier. Après avoir proposé une classification, nous analyserons en détail les interfaces machine-machine en nous appuyant sur des exemples d’interfaces normalisées. Suivra une analyse des interfaces personne-machine, personne-personne et machine-nature. Trois principes très généraux sont introduits pour compléter ceux du premier article. Cet article ne veut rien démontrer mais seulement montrer qu’il existe peut-être d’autres voies que celles qui sont actuellement suivies par la majorité pour cerner le génie logiciel
Partie IV Exigences
Cet article est le dernier d'une série de quatre où nous avons essayé de montrer la nécessité d'élaguer le génie logiciel (GL) afin qu'il puisse se transformer en une branche à part entière de l'ingénierie. Dans le premier article, nous avons « arbitrairement » fixé les principes qui soutiennent notre démarche. Dans le deuxième, nous avons mis en évidence certaines lacunes dans le domaine de la qualité et des mesures logicielles. Dans le troisième, nous avons employé les interfaces comme lentilles pour grossir certains aspects du génie logiciel. Dans cet article, nous considérerons la problématique des exigences en nous appuyant sur le chapitre de SWEBOK les concernant. Une ébauche d'une approche alternative aux exigences fondée sur la stabilité est proposée. La conclusion résume les points essentiels traités dans les quatre articles. La bibliographie est précédée par quatre encadrés qui abordent des particularités de thèmes traités dans le corps de l'article.

Voir aussi

Ces articles sont disponibles sur le site de l'UQAM :