État bourguignon
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La carte de l’État bourguignon sous Charles le Téméraire
Le terme d'État bourguignon[1], d'États bourguignons ou — de façon plus consensuelle — de pays bourguignons[2], sert dans l'historiographie contemporaine à désigner l'ensemble des possessions détenues par les ducs de Bourgogne de la maison de Valois et leurs successeurs de la maison d'Autriche[3].
En 1443, le Duché du Luxembourg fut vendu par Élisabeth de Goerlitz à Philippe III le Bon, duc de Bourgogne. Avec la mort de Marie de Bourgogne en 1482, le Luxembourg devient possession de Maximilien, son mari, repassant ainsi aux mains des Habsbourg[4].
Voir aussi
- Notes
- ↑ Bertrand Schnerb, L'État bourguignon 1363-1477, Paris, Perrin, 1999
- ↑ Jean-Marie Cauchies, « Un État inventeur de formes d’organisation ? », dans La cour de Bourgogne et l’Europe. Le rayonnement et les limites d’un modèle culturel, éd. W. Paravicini, T. Hiltmann, F. Viltart, Ostfildern 2013, p. 110
- ↑ Cette introduction est extraite de Wikipédia
État bourguignon. (2018, janvier 16). Wikipédia, l'encyclopédie libre. Page consultée le 22:49, janvier 16, 2018 à partir de - ↑ Dans sa version initiale cet article rassemble des informations extraites de plusieurs pages de Wikipédia.
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