Histoire naturelle (Buffon)/Tome 15/Table matières/A

De Wicri Animaux
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Georges-Louis Leclerc de Buffon
Histoire Naturelle (1749)
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La table

Buffon Hist Nat E.O. Tome 15 f303.jpg[xlv] ABEILLES. Examen de la prétendue intelligence des abeilles. Vol. IV, page 92 et suiv. La société des abeilles n’est qu’un assemblage physique, ordonné par la Nature, et indépendant de toute vue, etc. preuve de cette assertion. Ibid. 94. Raison pourquoi les cellules des abeilles sont hexagones. Ibid. 99 et suiv. La régularité des ouvrages des abeilles ne dépend que du nombre et nullement de l’intelligence de ces petites bêtes. Ibid. 100. Raison pourquoi les abeilles ramassent, et font plus de cire et de miel qu’il ne leur en faut. Vol. IV, 105. Elles ne travaillent que par un sentiment aveugle, on peut les obliger à travailler, pour ainsi dire, autant que l’on veut : tant qu’il y a des fleurs qui leur conviennent dans le pays qu’elles habitent, elles ne cessent d’en tirer le miel et la cire ; elles ne discontinuent leur travail et ne finissent leur récolte que parce qu’elles ne trouvent plus rien à ramasser. On a imaginé de les transporter Buffon Hist Nat E.O. Tome 15 f304.jpg[xlvj] et de les faire voyager dans d’autres pays ; où il y a encore des fleurs ; alors elles reprennent le travail, elles continuent à ramasser, à entasser jusqu’à ce que les fleurs de ce nouveau canton soient épuisées ou flétries, etc. Vol. IV, 106.

ABSTINENCE, (l’) de toute chair, loin de convenir à la Nature de l’homme ne peut que la détruire. Vol. VII, 3.

ABSTRACTION. Selon nous, est le simple des choses, et la difficulté de les réduire à cette abstraction fait le composé. Vol. XI, 21.

ABSTRACTIONS, sont des échaffaudages pour soutenir notre jugement. Vol. XI, 21. Puissance réelle attribuée aux abstractions, est le plus grand abus qu’on pût faire de la raison, et le plus grand obstacle qu’on pût mettre à l’avancement de nos connoissances. Vol. II, 75. ABSTRACTIONS mentales, (nos) ne sont que des êtres négatifs, qui n’existent même intellectuellement, que par le retranchement que nous faisons des qualités sensibles aux êtres réels. Vol. II, 77. ABYME, profondeurs énormes, qui se trouvent dans certaines montagnes, et sur-tout dans les plus élevées ; ce sont d’anciennes bouches de volcans. Vol. I, 316. ABYME du mont Ararath. Ibid. ACCOUCHEMENT, (explication de l’) Vol. II, 388. Vraies et fausses douleurs de l’accouchement, manière de les distinguer. Ibid. 388. Conjectures sur la cause des douleurs par accès qui précèdent l’accouchement. Vol. II, 390. Il arrive quelquefois que le fœtus humain sort de la matrice sans déchirer les membranes qui l’enveloppent, et par conséquent sans que la liqueur qu’elles contiennent se soit écoulée : cet accouchement paroît être le plus naturel, et ressemble à celui de presque tous les animaux. Ibid. 390. Temps ordinaires de l’accouchement naturel, s’étendent à vingt jours, c’est-à-dire, depuis huit mois et quatorze jours jusqu’à neuf mois et quatre jours. Ibid. 405. Arrive à la dixième période des règles. Ibid. 406. Limites des temps de l’accouchement. Ibid. 407. Causes occasionnelles de l’accouchement, Ibid. La cause physique de l’accouchement est le retour des menstrues ; explication et preuves de cette assertion. Ibid. 411. ACCROISSEMENT (l’) et le développement de l’animal ou du végétal se fait par l’extension du moule dans toutes ses dimensions extérieures et intérieures, par l’intus-susception d’une matière accessoire et étrangère qui pénètre dans l’intérieur, qui