Histoire naturelle (Buffon)/Tome 12/Le zèbre

De Wicri Animaux
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Georges-Louis Leclerc de Buffon
Histoire Naturelle (1749)
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Cette page introduit l'article Le zèbre par Monsieur de Buffon dans le tome XII de son encyclopédie[NDLR 1].

Le zèbre (par Monsieur de Buffon)

Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f33.jpg[1]

Buffon Hist Nat Tome XII image page 33.jpg

 

Le zèbre

 

Buffon Lanessan Tome 9 page f452.jpg[l 418]

Le zèbre [L 1] est peut-être de tous les animaux quadrupèdes le mieux fait et le plus élégamment vêtu : Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f34.jpg[2] il a la figure et les grâces du cheval, la légèreté du cerf, et la robe rayée de rubans noirs et blancs, disposés alternativement avec tant de régularité et de symétrie qu'il semble que la nature ait employé la règle et le compas pour la peindre : ces bandes alternatives de noir et de blanc sont d'autant plus singulières qu'elles sont étroites, parallèles et très exactement séparées comme dans une étoffe rayée; que d'ailleurs elles s'étendent non seulement sur le corps, mais sur la tête, sur les cuisses et les jambes, et jusque sur les oreilles et la queue ; en sorte que de loin cet animal paraît comme s'il était environné partout de bandelettes qu'on aurait pris plaisir et employé beaucoup d'art à disposer régulièrement sur toutes les parties de son corps ; elles en suivent les contours et en marquent si avantageusement la forme (a) , qu'elles en dessinent les muscles en s'élargissant plus ou moins sur les parties plus ou moins charnues et plus ou moins arrondies. Dans la femelle ces bandes sont alternativement noires et blanches ; dans le mâle elles sont noires et jaunes, mais toujours d'une nuance vive et brillante sur un poil court, fin et fourni, dont le lustre augmente encore la beauté des couleurs. Le zèbre est, en général, plus petit que le cheval et plus grand que l'âne ; et quoiqu'on l'ait souvent comparé à ces deux animaux, qu'on l'ait même appelé cheval sauvage (b) Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f35.jpg[3] et âne rayé (c), il n'est la copie ni de l'un ni de l'autre, et serait plutôt leur modèle, si dans la nature tout n'était pas également original, et si chaque espèce n'avait pas un droit égal à la création.

Buffon Lanessan Tome 9 page f453.jpg[l 419] Le zèbre n'est donc ni un cheval ni un âne, il est de son espèce ; car nous n'avons pas appris qu'il se mêle et produise avec l'un ou l'autre [L 2], quoique l'on ait souvent essayé de les approcher. On a présenté des ânesses en chaleur à celui qui était l'année dernière (1761) à la ménagerie de Versailles ; il les a dédaignées, ou plutôt il n'en a été nullement ému, du moins le signe extérieur de l'émotion n'a point paru ; cependant il jouait avec elles et les montait, mais sans érection ni hennissement, et on ne peut guère attribuer cette froideur à une autre cause qu'à la disconvenance de nature; car ce zèbre, âgé de quatre ans, était à tout autre exercice fort vif et très léger.

Le zèbre n'est pas l'animal que les anciens nous ont indiqué sous le nom d'onagre [L 3] : il existe dans le Levant, dans l'orient de l'Asie et dans la partie septentrionale de l'Afrique, une très belle race d'ânes, qui, comme celles des plus beaux chevaux, est originaire d'Arabie (d) ; Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f36.jpg[4] cette race diffère de la race commune par la grandeur du corps, la légèreté des jambes et le lustre du poil ; ils sont de couleur uniforme, ordinairement d'un beau gris de souris, avec une croix noire sur le dos et sur les épaules ; quelquefois ils sont d'un gris plus clair avec une croix blonde (e) . Ces ânes d'Afrique et d'Asie (f) , quoique plus beaux que ceux d'Europe, Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f37.jpg[5] sortent également des Buffon Lanessan Tome 9 page f454.jpg[l 420] onagres ou ânes sauvages, qu'on trouve encore en assez grande quantité dans la Tartarie orientale et méridionale (g) , la Perse, la Syrie, les îles de l'Archipel et toute la Mauritanie (h) ; les onagres ne diffèrent des ânes domestiques que par les attributs de l'indépendance et de la liberté ; ils sont plus forts et plus légers, ils ont plus de courage et de vivacité, mais ils sont les mêmes pour la forme du corps; ils ont seulement le poil beaucoup plus long, Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f38.jpg[6] et cette différence tient encore à leur état ; car nos ânes auraient également le poil long, si l'on n'avait pas soin de les tondre à l'âge de quatre ou cinq mois ; les ânons ont dans les premiers temps le poil long, à peu près comme les jeunes ours ; le cuir des ânes sauvages est aussi plus dur que celui des ânes domestiques ; on assure qu'il est chargé partout de petits tubercules, et que c'est avec cette peau des onagres qu'on fait dans le Levant le cuir ferme et grenu qu'on appelle chagrin, et que nous employons à différents usages; mais ni les onagres, ni les beaux ânes d'Arabie ne peuvent être regardés comme la souche de l'espèce du zèbre, quoiqu'ils en approchent par la forme du corps et par la légèreté ; jamais on n'a vu ni sur les uns ni sur les autres la variété régulière des couleurs du zèbre : cette belle espèce est singulière et unique dans son genre ; elle est aussi d'un climat différent de celui des onagres, et ne se trouve que dans les parties les plus orientales et les plus méridionales de l'Afrique, depuis l’Éthiopie jusqu'au cap de Bonne-Espérance (i), et de là jusqu'au Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f39.jpg[7] Congo (j) : elle n'existe ni en Europe, ni en Asie, ni en Amérique, ni même dans toutes les parties septentrionales de l'Afrique; ceux que quelques voyageurs Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f40.jpg[8] quelques voyageurs (k) disent avoir trouvés au Brésil y avaient été transportés d'Afrique ; Buffon Lanessan Tome 9 page f455.jpg[l 421] ceux que d'autres racontent avoir vus en Perse (c) et en Turquie (d) y avaient été amenés d'Éthiopie ; et, enfin, ceux que nous avons vus en Europe sont Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f41.jpg[9] presque tous venus du cap de Bonne-Espérance : cette pointe de l'Afrique Buffon Lanessan Tome 9 page f456.jpg[l 422] est leur vrai climat, leur pays natal, où ils sont en grande quantité, et où les Hollandais ont employé tous leurs soins pour les dompter et pour les rendre domestiques sans avoir jusqu'ici pleinement réussi. Celui que nous avons vu, et qui a servi de sujet pour notre description, était très sauvage lorsqu'il arriva à la ménagerie du Roi, et il ne s'est jamais entièrement apprivoisé; cependant on est parvenu à le monter, mais il fallait des précautions; deux hommes tenaient la bride pendant qu'un troisième était dessus; il avait la bouche très dure, Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f42.jpg[10] les oreilles si sensibles qu'il ruait dès qu'on voulait les toucher. Il était rétif comme un cheval vicieux et têtu comme un mulet ; mais peut-être le cheval sauvage et l'onagre sont aussi peu traitables, et il y a toute apparence que si l'on accoutumait dès le premier âge le zèbre à l'obéissance et à la domesticité il deviendrait aussi doux que l'âne et le cheval, et pourrait les remplacer tous deux.

Notes de la partie rédigée par Buffon

Notes relatives au titre
  • Zèbre, Zebra, Zevera, Sebra, nom de cet animal au Congo, et que nous lui avons conservé. Esvre à Angola, selon Pyrard.
  • Zebra. Aldrov. de quad. solid. pag. 416, fig. pag. 417.
  • Zebra. Ray. syn. quad. pag. 64.
  • Equus auriculis brevibus erectis, juba brevi, lineis transversis versicolor..… Zebra, le zèbre ou l’âne rayé. Briss. Reg. anim. pag. 101.
Notes au fil du texte[NDLR 2]
(a) Voyez ci-après la description de ce zèbre.
(b) Equus ferus genere suo, Zebra. Klein, De quad., p. 5.

Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f35.jpg[3]

(c) [p. 3, note a] « Infortunatum animal, quod tam pulchris coloribus præditum, Asini nomen in Europà ferre cogatur. » Vide Ludolphi Commenta, p. 150, ibique zebræ figuram.
(d) [p. 3-4, note b] Il y a deux sortes d'ânes en Perse, les ânes du pays qui sont lents et pesants, comme les ânes de nos pays, dont ils ne se servent qu'à porter des fardeaux, et une race d'ânes d'Arabie, qui sont de fort jolies bêtes et les premiers ânes du monde.

Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f36.jpg[4]

Ils ont le poil poli, la tête haute, les pieds légers, les levant avec action en marchant : on ne s'en sert que pour monture. On les panse comme les chevaux. Des espèces d'écuyers les dressent à aller l'amble, et leur allure est extrêmement douce et si prompte qu'il faut galoper pour les suivre. Voyage de Chardin, t. II, p. 27. — Voyages de Tavernier, t. II, p. 20.
(e) [p. 4, note a]Je vis à Bassora un âne sauvage, sa forme n'était point différente de celle des communs et domestiques, mais il était d'une couleur plus claire, et depuis la tête jusqu'à la queue il avait une raie de poils blonds. Et tant à la course que dans les autres actions, il paraissait beaucoup plus dispos que les ânes ordinaires. Voyage de Pietro della Valle, t. VIII. page 49 [NDLR 3]
(f) [p. 4-5, note b]Les Maures qui viennent trafiquer au cap Vert, avaient amené leurs bagages et leurs denrées sur des ânes; j'eus de la peine à reconnaître cet animal, tant il était beau et bien vêtu en comparaison de ceux d'Europe, qui, je crois, seraient de même, si le travail et la manière dont on les charge ne contribuait pas beaucoup à les défigurer : leur poil était d'un gris de souris, fort beau et bien lustré, sur lequel la bande noire qui s'étend le long de leur dos, et croise eusuite sur leurs épaules, faisait un joli effet : ces ânes sont un peu plus grands que les nôtres, mais ils ont aussi quelque chose dans la tête qui les distingue du cheval, surtout du cheval barbe, qui est comme naturel au pays, mais toujours plus haut de taille. Voyage au Sénégal, par M. Adanson, p. 118.

Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f37.jpg[5]

Il y a quantité d'ânes sauvages dans les déserts de Numidie et de Libye, et aux pays circonvoisins; ils vont si vite, qu'il n'y a que les chevaux barbes qui puissent les atteindre à la course : dès qu'ils voient un homme ils s'arrêtent après avoir jeté un cri et font une ruade, et lorsqu'il est proche ils commencent à courir. On les prend dans des pièges et par d'autres inventions. Ils vont par troupes en pâture et à l'abreuvoir. La chair en est fort bonne, mais il faut la laisser refroidir deux jours lorsqu'elle est cuite, parce qu'autrement elle pue et sent trop la venaison ; nous avons vu quantité de ces animaux dans la Sardaigne, mais plus petits. L'Afrique de Marmol, t. Ier, p. 53.
(g) [p. 5, note a]L'animal que les Tartares Monguls appellent Czigithai [L 4], et que Messerschmid a désigné par la phrase ""mulus fœcundus Dauricus"", est le même que l'onagre ou âne sauvage.
(h) [p. 5, note b] On trouve beaucoup d'ânes sauvages dans les îles de Peine et de Levata ou Lebinthos. On envoit aussi dans l'île de Cythère, appelée aujourd'hui Cerigo. Description des îles de l'Archipel, par Dapper, p. 185 et 378.

Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f38.jpg[6]

(i) [p. 6, note a] Il y a quantité de chevaux sauvages au cap de Bonne-Espérance, qui sont les plus beaux du monde; ils sont rayés de raies blanches et noires (j'en ai apporté la peau d'un); on ne les saurait qu'à grande peine dompter. Relation du chevalier de Chaumont. Paris, 1686, p. 12.
— L'âne sauvage du Cap est un des plus beaux animaux que j'aie jamais vu ; il a la taille d'un cheval de monture ordinaire ; ses jambes sont déliées et bien proportionnées, et son poil est doux et uni; depuis sa crinière jusqu'à sa queue, on voit au milieu du dos une raie noire, de laquelle de part et d'autre il sort un grand nombre d'autres raies de diverses couleurs, qui forment tout autant de cercles en se rencontrant sous son ventre. Quelques-uns de ces cercles sont blancs, d'autres jaunes et d'autres châtains, et ces couleurs se perdent et se confondent les unes dans les autres, de manière qu'elles forment un coup d'œil charmant.

Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f39.jpg[7]

Sa tête et ses oreilles sont aussi ornées de petites raies et des mêmes couleurs; celles qui brillent sur la crinière et sur la queue sont pour la plupart blanches, châtaines ou brunes, il y en a moins de jaunes ; il est si vite qu'il n'est pas un cheval au mondequi puisse à cet égard lui être comparé ; aussi faut-il beaucoup de peine pour en prendre quelqu'un, et lorsqu'on a ce bonheur on le vend très cher. J'ai vu fort souvent de ces animaux par grosses troupes. Le P. Tellez, Thévenot et d'autres écrivains, disent qu'ils en ont vu d'apprivoisés; mais je n'ai pas ouï dire que jamais on ait pu en apprivoiser au Cap. Plusieurs Européens ont employé toute leur habileté et leur patience pour en venir à bout, ils s'y sont pris de toutes les manières, ils en ont éprouvé de jeunes et de vieux, leurs soins ont toujours été inutiles, etc. Description du cap de Bonne-Espérance, par Kolbe, t. III, p. 25.
(j) [p. 7, note *]On trouve à Pamba, au royaume de Congo, un animal que ces peuples appellent zèbre, qui est tout semblable à un mulet, excepté qu'il engendre. Au reste, la disposition de son poil est merveilleuse, car, depuis l'épine du dos jusqu'au ventre, il y a des lignes de trois couleurs, savoir : blanches, noires et jaunes, le tout étant disposé avec une juste proportion, et chaque bande étant de la largeur de trois doigts. Ces animaux se multiplient à bon escient en ce pays, parce qu'ils font des faons toutes les années. Ils sont très sauvages et vites tout ce qui se peut ; cette bête, étant apprivoisée, pourrait servir au lieu de cheval, etc. Voyage de Fr. Drack. Paris, 1641, p. 106 et 107.
Il y a sur la route de Loanda, au royaume de Congo, un animal qui est de la taille et de la force d'un mulet, mais il a le poil varié de bandes blanches, noires et jaunes, qui embrassent le corps depuis l'épine jusque sous le ventre, ce qui est très beau à voir et semble artificiel; on l'appelle zébra. Relation d'un voyage de Congo, fait en 1666 et 1667, par les PP. Michel-Ange de Galline et Denys de Charly, capucins. Lyon, 1680, p. 76 et suiv.

Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f40.jpg[8]

- Il y a une espèce d'animal à Congo, qu'on nomme sebra, qui ressemble tout à fait à un mulet, excepté qu'il engendre ; son poil est fort extraordinaire: depuis l'épine du dos jusqu'au dessous du ventre, il a trois raies de différentes couleurs, etc. Voyages de la Compagnie des Indes de Hollande, t. IV, p. 320.
(k) [p. 8, note a] Au Brésil, lorsque j'y arrivai, je vis deux animaux fort rares ; ils étaient de la forme, hauteur et proportion d'une petite mule, et toutefois ce n'est pas une espèce de mule, parce que c'est un animal à part qui engendre et porte son semblable. La peau était admirablement belle, polie et éclatante comme du velours, et le poil aussi court ; et, ce qui est plus étrange, c'est qu'elle est composée de petites bandes extrêmement blanches et extrêmement noires, si proportionnellement que jusqu'aux oreilles, bout de la queue et autres extrémités, il n'y avait rien à dire de cette figure, si bien compassée qu'à peine l'art des hommes en pourrait faire autant. Au demeurant, c'est une bête fort fière qui ne s'apprivoise jamais tout à fait; on les appelait, du nom du pays d'où elles sont, esvres; elles naissent en Angola, en Afrique, d'où on les avait amenées au Brésil pour les présenter par après au roi d'Espagne, et les ayant prises jeunes et fort petites, on les avait un peu apprivoisées, et pourtant il n'y avait qu'un homme qui les soignât et qui osât en approcher ; même peu auparavant que j'y arrivasse, une qui se détacha par aventure tua un palefrenier. Encore celui qui les traite m'a montré comme elles l'avaient mordu en plusieurs endroits, quoiqu'elles soient attachées fort court. Certainement c'est la peau d'animal la plus belle qu'on saurait voir. Voyage de Pyrard, t. II, p. 376.
(l) [p. 8, note b] Les ambassadeurs d'Éthiopie au Mogol devaient donner en présent une espèce de petite mule, dont j'ai vu la peau, qui était une chose très rare : il n'y a tigre si bien marqué, ni étoffe de soie à raies si bien rayée, ni avec tant de variété, d'ordre et de proportion qu'elle l'était. Histoire de la révolution au Mogol, par Fr. Bernier. Amsterdam, 1710, t. Ier, p. 181.

Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f41.jpg[9]

(m) [p. 9, note *] Il arriva au Caire un ambassadeur d'Éthiopie qui avait plusieurs présents pour le Grand-Seigneur, entre autres un âne qui avait une peau fort belle, pourvu qu'elle fût naturelle, car je n'en voudrais pas répondre, ne l'ayant point examinée. Cet âne avait la raie du dos noire, et tout le reste du corps était bigarré de raies blanches et raies tannées alternativement, larges chacune d'un doigt, qui lui ceignaient tout le corps ; la tête était extrêmement longue et bigarrée comme le corps ; les oreilles, noires, jaunes et blanches ; ses jambes, bigarrées de même que le corps, non pas en long des jambes, mais à l'entour jusqu'au bas en façon de jarretière, le tout avec tant d'ordre et de mesure qu'il n'y a point de peau de tigre ou de léopard si belle. Il mourut à cet ambassadeur deux ânes pareils, par les chemins, et il en portait les peaux pour présenter au Grand-Seigneur, avec celui qui était vivant. Relation d'un voyage, par Thévenot, t. Ier, p. 473 et 474.

Planches de l'article

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Buffon Hist Nat E.O. Tome 12 f55.jpg
Collection Quadrupèdes Buffon 1749 tome 2 f174.jpg

Description du zèbre (par Monsieur Daubenton)

Dans le Cabinet du Roi

Iconographie complémentaire

Autres gravures dans la collection des animaux quadrupèdes de Buffon
Collection Quadrupèdes Buffon 1749 tome 2 f173.jpg
Collection Quadrupèdes Buffon 1749 tome 2 f175.jpg
Image relative à la citation d'Ulisse Aldrovandi
Zebra Aldrovandi.jpg
Dans la Description du Cap de Bonne-Espérance de Pierre Kolbe
Édition originale Traduction
Naaukeurige en uitvoerige beschryving van kaap de Goede Hoop (1727) Kolb page 226.jpg
Desc Cap Kolbe T3 n52.jpg

Dans la réédition de Lanessan

Notes de Lanessan

  1. Equus Zébra L.
  2. Le Zèbre s'accouple avec le Cheval et l'Ane et produit avec les deux.
  3. Asinus Onager PALL.
  4. D'après Flourens, le Czigithai est l'Hémione (Asinus Hemionus PALL.).

Notes de la rédaction

  1. Cet article est réédité sur la base de l'édition originale, avec la modernisation du texte de la réédition de Lannesan.
  2. La numérotation des notes de Buffon est ici adaptée à la lecture hypertexte.
  3. https://archive.org/details/voyagesdepietro02machgoog/page/n59/mode/1up

Voir aussi

Source