Propositions pour la maîtrise de la programmation par échange de messages
Identifieur interne : 002011 ( Crin/Corpus ); précédent : 002010; suivant : 002012Propositions pour la maîtrise de la programmation par échange de messages
Auteurs : Eric DillonSource :
English descriptors
- KwdEn :
Abstract
L'informatique est synonyme de puissance de calcul. Cependant, la puissance croissante des processeurs et des machines séquentielles ne suffit plus. Le parallélisme est apparu, ou comment faire coopérer plusieurs processeurs en parallèle pour traiter de plus gros volumes de données en moins de temps. Si les informaticiens sont de gros demandeurs de puissance de calcul, notamment dans le domaine des bases de données, ils ne sont pas les seuls : les physiciens, les chimistes ou encore les mathématiciens le sont aussi. Ils élaborent des modèles mathématiques de plus en plus fins, mais de plus en plus gourmants en ressources de calcul, ce qui les poussent tout naturellement vers une implantation parallèle de ces modèles. En conséquence, ils doivent s'improviser informaticiens pour concevoir et implanter leurs modèles sur des machines parallèles de plus en plus sophistiquées. Classiquement, ils se tournent vers un modèle de programmation basé sur l'utilisation de langages séquentiels (C, C++ ou Fortran) étendus grâce à des mécanismes de communications entre processus séquentiels. L'approche proposée par ce mode de programmation est basée sur la construction d'une application parallèle en terme de tâches communicantes. Chaque tâche exécute un code séquentiel et coopère avec les autres au travers des services offerts par une bibliothèque de communication. Si ce mode de programmation reste assez intuitif, il demande une certaine expertise pour obtenir des performances raisonnables à l'exécution.
Links to Exploration step
CRIN:dillon97dLe document en format XML
<record><TEI><teiHeader><fileDesc><titleStmt><title xml:lang="en" wicri:score="38">Propositions pour la maîtrise de la programmation par échange de messages</title></titleStmt><publicationStmt><idno type="RBID">CRIN:dillon97d</idno><date when="1997" year="1997">1997</date><idno type="wicri:Area/Crin/Corpus">002011</idno></publicationStmt><sourceDesc><biblStruct><analytic><title xml:lang="en">Propositions pour la maîtrise de la programmation par échange de messages</title><author><name sortKey="Dillon, Eric" sort="Dillon, Eric" uniqKey="Dillon E" first="Eric" last="Dillon">Eric Dillon</name></author></analytic></biblStruct></sourceDesc></fileDesc><profileDesc><textClass><keywords scheme="KwdEn" xml:lang="en"><term>MPI</term><term>Message passing</term><term>PVM</term></keywords></textClass></profileDesc></teiHeader><front><div type="abstract" xml:lang="fr" wicri:score="-3180">L'informatique est synonyme de puissance de calcul. Cependant, la puissance croissante des processeurs et des machines séquentielles ne suffit plus. Le parallélisme est apparu, ou comment faire coopérer plusieurs processeurs en parallèle pour traiter de plus gros volumes de données en moins de temps. Si les informaticiens sont de gros demandeurs de puissance de calcul, notamment dans le domaine des bases de données, ils ne sont pas les seuls : les physiciens, les chimistes ou encore les mathématiciens le sont aussi. Ils élaborent des modèles mathématiques de plus en plus fins, mais de plus en plus gourmants en ressources de calcul, ce qui les poussent tout naturellement vers une implantation parallèle de ces modèles. En conséquence, ils doivent s'improviser informaticiens pour concevoir et implanter leurs modèles sur des machines parallèles de plus en plus sophistiquées. Classiquement, ils se tournent vers un modèle de programmation basé sur l'utilisation de langages séquentiels (C, C++ ou Fortran) étendus grâce à des mécanismes de communications entre processus séquentiels. L'approche proposée par ce mode de programmation est basée sur la construction d'une application parallèle en terme de tâches communicantes. Chaque tâche exécute un code séquentiel et coopère avec les autres au travers des services offerts par une bibliothèque de communication. Si ce mode de programmation reste assez intuitif, il demande une certaine expertise pour obtenir des performances raisonnables à l'exécution.</div></front></TEI><BibTex type="phdthesis"><ref>dillon97d</ref><crinnumber>97-T-321</crinnumber><category>9</category><equipe>RESEDAS</equipe><author><e>Dillon, Eric</e></author><title>Propositions pour la maîtrise de la programmation par échange de messages</title><school>Université Henri Poincaré - Nancy I</school><year>1997</year><type>Thèse d'université</type><month>oct</month><keywords><e>Message passing</e><e>PVM</e><e>MPI</e></keywords><abstract>L'informatique est synonyme de puissance de calcul. Cependant, la puissance croissante des processeurs et des machines séquentielles ne suffit plus. Le parallélisme est apparu, ou comment faire coopérer plusieurs processeurs en parallèle pour traiter de plus gros volumes de données en moins de temps. Si les informaticiens sont de gros demandeurs de puissance de calcul, notamment dans le domaine des bases de données, ils ne sont pas les seuls : les physiciens, les chimistes ou encore les mathématiciens le sont aussi. Ils élaborent des modèles mathématiques de plus en plus fins, mais de plus en plus gourmants en ressources de calcul, ce qui les poussent tout naturellement vers une implantation parallèle de ces modèles. En conséquence, ils doivent s'improviser informaticiens pour concevoir et implanter leurs modèles sur des machines parallèles de plus en plus sophistiquées. Classiquement, ils se tournent vers un modèle de programmation basé sur l'utilisation de langages séquentiels (C, C++ ou Fortran) étendus grâce à des mécanismes de communications entre processus séquentiels. L'approche proposée par ce mode de programmation est basée sur la construction d'une application parallèle en terme de tâches communicantes. Chaque tâche exécute un code séquentiel et coopère avec les autres au travers des services offerts par une bibliothèque de communication. Si ce mode de programmation reste assez intuitif, il demande une certaine expertise pour obtenir des performances raisonnables à l'exécution.</abstract></BibTex></record>Pour manipuler ce document sous Unix (Dilib)
EXPLOR_STEP=$WICRI_ROOT/Wicri/Lorraine/explor/InforLorV4/Data/Crin/Corpus
HfdSelect -h $EXPLOR_STEP/biblio.hfd -nk 002011 | SxmlIndent | more
Ou
HfdSelect -h $EXPLOR_AREA/Data/Crin/Corpus/biblio.hfd -nk 002011 | SxmlIndent | more
Pour mettre un lien sur cette page dans le réseau Wicri
{{Explor lien
|wiki= Wicri/Lorraine
|area= InforLorV4
|flux= Crin
|étape= Corpus
|type= RBID
|clé= CRIN:dillon97d
|texte= Propositions pour la maîtrise de la programmation par échange de messages
}}
| This area was generated with Dilib version V0.6.33. |  |