Interview Dusoulier (2000) Rayward/Construction de l'INIST
De Histoire de l'IST
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Interview de Nathalie Dusoulier par W. Boyd Rayward en 2000
Construction de l'INIST
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Sommaire de la version numérique de l'interview de Nathalie Dusoulier par Byord Rayward
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Avant-propos
Le texte qui suit est une traduction de la fin d'un ouvrage réalisé par le Chemical Heritage Foundation[1] (Centre d'histoire de la chimie).
L'ensemble est une interview de Nathalie Dusoulier mené par W. Rayward à Nice en 2000.
La traduction est un travail collectif mené dans la cadre du réseau Wicri. Elle est complétée par une indexation sémantique et par l'ajout d'une iconographie.
Construction de l'INIST
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- Dusoulier
- Je lui ai dit[2] : « Très bien, après le weekend, je vous écrirai » Then he said, “Oh, you know, you have to do it.” I said, “Yes, sure. I’m interested.” He said, “Because, you know, n'oubliez pas, vous étes en détachement —” I said, “Is that a way of threatening me? If I won’t be good, they won’t continue my secondment?” And I told him, “Oh, s'il vous plait, pas de chantage avec moi, car je peux rester aux Nations Unies aussi longtemps que je le veux.”And, of course, in CNRS, you have to stay until sixty-five. “I can stay until sixty-two, anyway, and you can stay two years more. You know, considering the money I’m getting here, I will have more money staying three years less in CNRS than two years more.” [laughter]
Voir aussi
- Notes
- ↑ Le Chemical Heritage Foundation a fusionné en 2015 avec le Life Sciences Foundation pour devenir le Science History Institute.
- ↑ La coupure ne permet pas de savoir précisément qui est l'interlocuteur de Nathalie Dusoulier. La suite de l'entretien laisse à penser qu'il s'agit d'un membre de la Direction Générale du CNRS.