Reconnaître et prendre en charge l'érysipèle de jambe: Deuxième partie La pénicilline avant tout
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Auteurs :Source :
- La Revue Prescrire [ 0247-7750 ] ; 2007.
Descripteurs français
- Pascal (Inist)
- Wicri :
- topic : Homme, Antibiotique.
English descriptors
- KwdEn :
Abstract
• Non traité, l'érysipèle de jambe streptococcique expose à des complications graves, voire mortelles. Le pronostic a été transformé par l'antibiothérapie, mais les récidives sont fréquentes. • Quelle est l'antibiothérapie de référence? Quelles mesures thérapeutiques associer? Comment éviter les récidives? Pour répondre à ces questions nous avons réalisé une synthèse selon la méthode habituelle de la revue Prescrire. • Les rares études de cohorte et surtout l'expérience clinique accumulée rendent compte de l'efficacité de la pénicilline G, alias benzylpénicilline, et de la pénicilline V, alias phénoxyméthylpénicilline. Environ 90 % des érysipèles traités par antibiotique guérissent. Les rares essais comparatifs n'ont pas mis en évidence de différence significative d'efficacité entre voies d'administration. La posologie n'a pas été évaluée par des essais comparatifs. Des allergies, rarement graves, sont les principaux effets indésirables. • En cas d'allergie à la pénicilline, sur des arguments bactériologiques, les alternatives sont un macrolide, voire la pristinamycine ou la clindamycine, à utiliser avec parcimonie du fait de leur utilité dans certaines infections staphylococciques. • Sous traitement, la fièvre disparaît rapidement, suivie par l'érythème et l'oedème. Une évolution défavorable conduit à rechercher des abcès (à traiter par drainage), à effectuer un prélèvement bactériologique ou à réajuster l'antibiothérapie vis-à-vis d'une autre bactérie, notamment un staphylocoque. • Le paracétamol est éventuellement utilisé pour traiter les douleurs, sans évaluation spécifique. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) exposent à des complications, telles que de petites zones de nécrose cutanées, et à des retards diagnostiques. • La thrombose veineuse profonde n'apparaît pas comme une complication habituelle de l'érysipèle. L'alitement, la présence d'autres facteurs de risque de thrombose, tel qu'un antécédent thromboembolique, sont des arguments en faveur d'une anticoagulation préventive par héparine, malgré le risque d'hémorragie. • Un essai de corticothérapie orale a montré un raccourcissement de l'évolution de quelques jours en moyenne; mais l'action immunodépressive des corticoïdes incite à la prudence. • La surélévation des jambes est une mesure empirique souvent adoptée, pour diminuer l'oedème et les douleurs. • Après un érysipèle, le seul traitement préventif des récidives assez bien évalué est la benzathine benzylpénicilline pendant plusieurs mois. La pénicilline orale a vraisemblablement une efficacité similaire. Le traitement d'éventuelles portes d'entrée cutanées (intertrigos interorteils, ulcères) et les mesures visant à réduire un lymphoedème sont cohérents, même sans essai probant.
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