Serveur d'exploration autour du Bourgeois gentilhomme

Attention, ce site est en cours de développement !
Attention, site généré par des moyens informatiques à partir de corpus bruts.
Les informations ne sont donc pas validées.

De la «danseuse de temple» des voyageurs et missionnaires à la «bayadère» des philosophes et artistes des Lumières

Identifieur interne : 000007 ( PascalFrancis/Curation ); précédent : 000006; suivant : 000008

De la «danseuse de temple» des voyageurs et missionnaires à la «bayadère» des philosophes et artistes des Lumières

Auteurs : Tiziana Leucci [Canada]

Source :

RBID : Francis:14-0014535

Descripteurs français

English descriptors

Abstract

Les danseuses indiennes ont attiré l'attention des voyageurs européens en Asie depuis le XIIIe siècle. Leurs récits inspirèrent les poètes, musiciens et chorégraphes de leurs pays, si bien que les poèmes, opéras et ballets rédigés en Europe constituèrent bientôt un personnage théâtral: la bayadère (nom emprunté au portugais). D'abord évoquées par les voyageurs et les missionnaires comme des danseuses aux mœurs légères associées au temple (devadāsī), elles prennent sur scène l'apparence de « courtisanes séductrices ». De simples curiosités « exotiques » parmi d'autres, les Indiennes deviennent, dans le ballet de cour Le Triomphe de l'Amour de J.-B. Lully (1681), des membres du cortège de Bacchus en Inde, le divin alter ego de Louis XIV. Comparées à des prêtresses des paganismes antiques ou à des personnages évangéliques comme Marie-Madeleine, les devadāsī sont présentes, pendant tout le XVIIIe siècle, dans les pièces à sujet indien, mais comme personnages secondaires, dans les processions figurées par le corps de ballet. Grâce au progrès des connaissances sur les coutumes et religions de l'Inde en Europe, le destin féminin indien, marqué par l'antinomie de la danseuse courtisane et de la satī, devient un sujet débattu au siècle des Lumières, jusque dans les cercles philosophiques. Les voyageurs anticléricaux ou libertins insistent sur leur caractère de victimes des prêtres imposteurs et de l'« empire des coutumes ». Apparaissent dans certains drames les premiers rôles principaux dédiés à des personnages féminins indiens, reflets des débats contemporains sur la pertinence de l'entreprise coloniale. De l'apologie de Louis XIV en conquérant des Indes, l'imaginaire colonial français évolue vers un universalisme repoussant l'alliance des despotes et des prêtres orientaux. Incarnations du corps/territoire même de l'Inde, les femmes indiennes, en général, sont représentées en victimes innocentes du pouvoir et des superstitions. Il faut attendre la fin du XVIIIe siècle et le génie poétique de Goethe pour voir la femme indienne, comme danseuse, courtisane et amoureuse dévouée (telle la veuve), recomposée dans une nouvelle figure théâtrale: la bayadère du XIXe siècle, une des premières héroïnes romantiques au destin tragique.
pA  
A01 01  1    @0 0339-1744
A03   1    @0 Purusārtha
A06       @2 31
A08 01  1  FRE  @1 De la «danseuse de temple» des voyageurs et missionnaires à la «bayadère» des philosophes et artistes des Lumières
A11 01  1    @1 LEUCCI (Tiziana)
A14 01      @1 University of British Columbia (Vancouver) @3 CAN @Z 1 aut.
A20       @1 253-288
A21       @1 2013
A23 01      @0 FRE
A24 01      @0 eng
A43 01      @1 INIST @2 25311 @5 354000502497140090
A44       @0 0000 @1 © 2014 INIST-CNRS. All rights reserved.
A45       @0 5 p.3/4
A47 01  1    @0 14-0014535
A60       @1 P
A61       @0 A
A64 01  1    @0 Purusārtha
A66 01      @0 FRA
A68 01  1  ENG  @1 The "Indian Temple Dancer": from the European Travelers and Missionaries Accounts to the "Bayadère" of the Enlightenment Philosophers and Artists
A99       @0 39 notes
C01 01    FRE  @0 Les danseuses indiennes ont attiré l'attention des voyageurs européens en Asie depuis le XIIIe siècle. Leurs récits inspirèrent les poètes, musiciens et chorégraphes de leurs pays, si bien que les poèmes, opéras et ballets rédigés en Europe constituèrent bientôt un personnage théâtral: la bayadère (nom emprunté au portugais). D'abord évoquées par les voyageurs et les missionnaires comme des danseuses aux mœurs légères associées au temple (devadāsī), elles prennent sur scène l'apparence de « courtisanes séductrices ». De simples curiosités « exotiques » parmi d'autres, les Indiennes deviennent, dans le ballet de cour Le Triomphe de l'Amour de J.-B. Lully (1681), des membres du cortège de Bacchus en Inde, le divin alter ego de Louis XIV. Comparées à des prêtresses des paganismes antiques ou à des personnages évangéliques comme Marie-Madeleine, les devadāsī sont présentes, pendant tout le XVIIIe siècle, dans les pièces à sujet indien, mais comme personnages secondaires, dans les processions figurées par le corps de ballet. Grâce au progrès des connaissances sur les coutumes et religions de l'Inde en Europe, le destin féminin indien, marqué par l'antinomie de la danseuse courtisane et de la satī, devient un sujet débattu au siècle des Lumières, jusque dans les cercles philosophiques. Les voyageurs anticléricaux ou libertins insistent sur leur caractère de victimes des prêtres imposteurs et de l'« empire des coutumes ». Apparaissent dans certains drames les premiers rôles principaux dédiés à des personnages féminins indiens, reflets des débats contemporains sur la pertinence de l'entreprise coloniale. De l'apologie de Louis XIV en conquérant des Indes, l'imaginaire colonial français évolue vers un universalisme repoussant l'alliance des despotes et des prêtres orientaux. Incarnations du corps/territoire même de l'Inde, les femmes indiennes, en général, sont représentées en victimes innocentes du pouvoir et des superstitions. Il faut attendre la fin du XVIIIe siècle et le génie poétique de Goethe pour voir la femme indienne, comme danseuse, courtisane et amoureuse dévouée (telle la veuve), recomposée dans une nouvelle figure théâtrale: la bayadère du XIXe siècle, une des premières héroïnes romantiques au destin tragique.
C02 01  S    @0 52162 @1 XIV
C02 02  S    @0 521
C03 01  S  FRE  @0 Inde @2 NG @5 01
C03 01  S  ENG  @0 India @2 NG @5 01
C03 02  S  FRE  @0 Danse @5 02
C03 02  S  ENG  @0 Dance @5 02
C03 03  N  FRE  @0 Temple @5 03
C03 03  N  ENG  @0 Shrine @5 03
C03 04  N  FRE  @0 Chorégraphie @5 04
C03 04  N  ENG  @0 Choregraphy @5 04
C03 05  S  FRE  @0 Poète @5 05
C03 05  S  ENG  @0 Poet @5 05
C03 06  S  FRE  @0 Europe @2 NG @5 06
C03 06  S  ENG  @0 Europe @2 NG @5 06
C03 07  S  FRE  @0 Musique @5 07
C03 07  S  ENG  @0 Music @5 07
C03 08  S  FRE  @0 Voyage @5 08
C03 08  S  ENG  @0 Trip @5 08
C03 09  S  FRE  @0 Imaginaire @5 09
C03 09  S  ENG  @0 Imaginary @5 09
C03 10  S  FRE  @0 Héroïne @5 10
C03 10  S  ENG  @0 Heroin @5 10
N21       @1 013

Links toward previous steps (curation, corpus...)


Links to Exploration step

Francis:14-0014535

Le document en format XML

<record>
<TEI>
<teiHeader>
<fileDesc>
<titleStmt>
<title xml:lang="fr" level="a">De la «danseuse de temple» des voyageurs et missionnaires à la «bayadère» des philosophes et artistes des Lumières</title>
<author>
<name sortKey="Leucci, Tiziana" sort="Leucci, Tiziana" uniqKey="Leucci T" first="Tiziana" last="Leucci">Tiziana Leucci</name>
<affiliation wicri:level="1">
<inist:fA14 i1="01">
<s1>University of British Columbia (Vancouver)</s1>
<s3>CAN</s3>
<sZ>1 aut.</sZ>
</inist:fA14>
<country>Canada</country>
</affiliation>
</author>
</titleStmt>
<publicationStmt>
<idno type="wicri:source">INIST</idno>
<idno type="inist">14-0014535</idno>
<date when="2013">2013</date>
<idno type="stanalyst">FRANCIS 14-0014535 INIST</idno>
<idno type="RBID">Francis:14-0014535</idno>
<idno type="wicri:Area/PascalFrancis/Corpus">000000</idno>
<idno type="wicri:Area/PascalFrancis/Curation">000007</idno>
</publicationStmt>
<sourceDesc>
<biblStruct>
<analytic>
<title xml:lang="fr" level="a">De la «danseuse de temple» des voyageurs et missionnaires à la «bayadère» des philosophes et artistes des Lumières</title>
<author>
<name sortKey="Leucci, Tiziana" sort="Leucci, Tiziana" uniqKey="Leucci T" first="Tiziana" last="Leucci">Tiziana Leucci</name>
<affiliation wicri:level="1">
<inist:fA14 i1="01">
<s1>University of British Columbia (Vancouver)</s1>
<s3>CAN</s3>
<sZ>1 aut.</sZ>
</inist:fA14>
<country>Canada</country>
</affiliation>
</author>
</analytic>
<series>
<title level="j" type="main">Purusārtha</title>
<title level="j" type="abbreviated">Purusārtha</title>
<idno type="ISSN">0339-1744</idno>
<imprint>
<date when="2013">2013</date>
</imprint>
</series>
</biblStruct>
</sourceDesc>
<seriesStmt>
<title level="j" type="main">Purusārtha</title>
<title level="j" type="abbreviated">Purusārtha</title>
<idno type="ISSN">0339-1744</idno>
</seriesStmt>
</fileDesc>
<profileDesc>
<textClass>
<keywords scheme="KwdEn" xml:lang="en">
<term>Choregraphy</term>
<term>Dance</term>
<term>Europe</term>
<term>Heroin</term>
<term>Imaginary</term>
<term>India</term>
<term>Music</term>
<term>Poet</term>
<term>Shrine</term>
<term>Trip</term>
</keywords>
<keywords scheme="Pascal" xml:lang="fr">
<term>Inde</term>
<term>Danse</term>
<term>Temple</term>
<term>Chorégraphie</term>
<term>Poète</term>
<term>Europe</term>
<term>Musique</term>
<term>Voyage</term>
<term>Imaginaire</term>
<term>Héroïne</term>
</keywords>
<keywords scheme="Wicri" type="geographic" xml:lang="fr">
<term>Inde</term>
</keywords>
<keywords scheme="Wicri" type="topic" xml:lang="fr">
<term>Musique</term>
<term>Voyage</term>
</keywords>
</textClass>
</profileDesc>
</teiHeader>
<front>
<div type="abstract" xml:lang="fr">Les danseuses indiennes ont attiré l'attention des voyageurs européens en Asie depuis le XIII
<sup>e</sup>
siècle. Leurs récits inspirèrent les poètes, musiciens et chorégraphes de leurs pays, si bien que les poèmes, opéras et ballets rédigés en Europe constituèrent bientôt un personnage théâtral: la bayadère (nom emprunté au portugais). D'abord évoquées par les voyageurs et les missionnaires comme des danseuses aux mœurs légères associées au temple (devadāsī), elles prennent sur scène l'apparence de « courtisanes séductrices ». De simples curiosités « exotiques » parmi d'autres, les Indiennes deviennent, dans le ballet de cour Le Triomphe de l'Amour de J.-B. Lully (1681), des membres du cortège de Bacchus en Inde, le divin alter ego de Louis XIV. Comparées à des prêtresses des paganismes antiques ou à des personnages évangéliques comme Marie-Madeleine, les devadāsī sont présentes, pendant tout le XVIII
<sup>e</sup>
siècle, dans les pièces à sujet indien, mais comme personnages secondaires, dans les processions figurées par le corps de ballet. Grâce au progrès des connaissances sur les coutumes et religions de l'Inde en Europe, le destin féminin indien, marqué par l'antinomie de la danseuse courtisane et de la satī, devient un sujet débattu au siècle des Lumières, jusque dans les cercles philosophiques. Les voyageurs anticléricaux ou libertins insistent sur leur caractère de victimes des prêtres imposteurs et de l'« empire des coutumes ». Apparaissent dans certains drames les premiers rôles principaux dédiés à des personnages féminins indiens, reflets des débats contemporains sur la pertinence de l'entreprise coloniale. De l'apologie de Louis XIV en conquérant des Indes, l'imaginaire colonial français évolue vers un universalisme repoussant l'alliance des despotes et des prêtres orientaux. Incarnations du corps/territoire même de l'Inde, les femmes indiennes, en général, sont représentées en victimes innocentes du pouvoir et des superstitions. Il faut attendre la fin du XVIII
<sup>e</sup>
siècle et le génie poétique de Goethe pour voir la femme indienne, comme danseuse, courtisane et amoureuse dévouée (telle la veuve), recomposée dans une nouvelle figure théâtrale: la bayadère du XIX
<sup>e</sup>
siècle, une des premières héroïnes romantiques au destin tragique.</div>
</front>
</TEI>
<inist>
<standard h6="B">
<pA>
<fA01 i1="01" i2="1">
<s0>0339-1744</s0>
</fA01>
<fA03 i2="1">
<s0>Purusārtha</s0>
</fA03>
<fA06>
<s2>31</s2>
</fA06>
<fA08 i1="01" i2="1" l="FRE">
<s1>De la «danseuse de temple» des voyageurs et missionnaires à la «bayadère» des philosophes et artistes des Lumières</s1>
</fA08>
<fA11 i1="01" i2="1">
<s1>LEUCCI (Tiziana)</s1>
</fA11>
<fA14 i1="01">
<s1>University of British Columbia (Vancouver)</s1>
<s3>CAN</s3>
<sZ>1 aut.</sZ>
</fA14>
<fA20>
<s1>253-288</s1>
</fA20>
<fA21>
<s1>2013</s1>
</fA21>
<fA23 i1="01">
<s0>FRE</s0>
</fA23>
<fA24 i1="01">
<s0>eng</s0>
</fA24>
<fA43 i1="01">
<s1>INIST</s1>
<s2>25311</s2>
<s5>354000502497140090</s5>
</fA43>
<fA44>
<s0>0000</s0>
<s1>© 2014 INIST-CNRS. All rights reserved.</s1>
</fA44>
<fA45>
<s0>5 p.3/4</s0>
</fA45>
<fA47 i1="01" i2="1">
<s0>14-0014535</s0>
</fA47>
<fA60>
<s1>P</s1>
</fA60>
<fA61>
<s0>A</s0>
</fA61>
<fA64 i1="01" i2="1">
<s0>Purusārtha</s0>
</fA64>
<fA66 i1="01">
<s0>FRA</s0>
</fA66>
<fA68 i1="01" i2="1" l="ENG">
<s1>The "Indian Temple Dancer": from the European Travelers and Missionaries Accounts to the "Bayadère" of the Enlightenment Philosophers and Artists</s1>
</fA68>
<fA99>
<s0>39 notes</s0>
</fA99>
<fC01 i1="01" l="FRE">
<s0>Les danseuses indiennes ont attiré l'attention des voyageurs européens en Asie depuis le XIII
<sup>e</sup>
siècle. Leurs récits inspirèrent les poètes, musiciens et chorégraphes de leurs pays, si bien que les poèmes, opéras et ballets rédigés en Europe constituèrent bientôt un personnage théâtral: la bayadère (nom emprunté au portugais). D'abord évoquées par les voyageurs et les missionnaires comme des danseuses aux mœurs légères associées au temple (devadāsī), elles prennent sur scène l'apparence de « courtisanes séductrices ». De simples curiosités « exotiques » parmi d'autres, les Indiennes deviennent, dans le ballet de cour Le Triomphe de l'Amour de J.-B. Lully (1681), des membres du cortège de Bacchus en Inde, le divin alter ego de Louis XIV. Comparées à des prêtresses des paganismes antiques ou à des personnages évangéliques comme Marie-Madeleine, les devadāsī sont présentes, pendant tout le XVIII
<sup>e</sup>
siècle, dans les pièces à sujet indien, mais comme personnages secondaires, dans les processions figurées par le corps de ballet. Grâce au progrès des connaissances sur les coutumes et religions de l'Inde en Europe, le destin féminin indien, marqué par l'antinomie de la danseuse courtisane et de la satī, devient un sujet débattu au siècle des Lumières, jusque dans les cercles philosophiques. Les voyageurs anticléricaux ou libertins insistent sur leur caractère de victimes des prêtres imposteurs et de l'« empire des coutumes ». Apparaissent dans certains drames les premiers rôles principaux dédiés à des personnages féminins indiens, reflets des débats contemporains sur la pertinence de l'entreprise coloniale. De l'apologie de Louis XIV en conquérant des Indes, l'imaginaire colonial français évolue vers un universalisme repoussant l'alliance des despotes et des prêtres orientaux. Incarnations du corps/territoire même de l'Inde, les femmes indiennes, en général, sont représentées en victimes innocentes du pouvoir et des superstitions. Il faut attendre la fin du XVIII
<sup>e</sup>
siècle et le génie poétique de Goethe pour voir la femme indienne, comme danseuse, courtisane et amoureuse dévouée (telle la veuve), recomposée dans une nouvelle figure théâtrale: la bayadère du XIX
<sup>e</sup>
siècle, une des premières héroïnes romantiques au destin tragique.</s0>
</fC01>
<fC02 i1="01" i2="S">
<s0>52162</s0>
<s1>XIV</s1>
</fC02>
<fC02 i1="02" i2="S">
<s0>521</s0>
</fC02>
<fC03 i1="01" i2="S" l="FRE">
<s0>Inde</s0>
<s2>NG</s2>
<s5>01</s5>
</fC03>
<fC03 i1="01" i2="S" l="ENG">
<s0>India</s0>
<s2>NG</s2>
<s5>01</s5>
</fC03>
<fC03 i1="02" i2="S" l="FRE">
<s0>Danse</s0>
<s5>02</s5>
</fC03>
<fC03 i1="02" i2="S" l="ENG">
<s0>Dance</s0>
<s5>02</s5>
</fC03>
<fC03 i1="03" i2="N" l="FRE">
<s0>Temple</s0>
<s5>03</s5>
</fC03>
<fC03 i1="03" i2="N" l="ENG">
<s0>Shrine</s0>
<s5>03</s5>
</fC03>
<fC03 i1="04" i2="N" l="FRE">
<s0>Chorégraphie</s0>
<s5>04</s5>
</fC03>
<fC03 i1="04" i2="N" l="ENG">
<s0>Choregraphy</s0>
<s5>04</s5>
</fC03>
<fC03 i1="05" i2="S" l="FRE">
<s0>Poète</s0>
<s5>05</s5>
</fC03>
<fC03 i1="05" i2="S" l="ENG">
<s0>Poet</s0>
<s5>05</s5>
</fC03>
<fC03 i1="06" i2="S" l="FRE">
<s0>Europe</s0>
<s2>NG</s2>
<s5>06</s5>
</fC03>
<fC03 i1="06" i2="S" l="ENG">
<s0>Europe</s0>
<s2>NG</s2>
<s5>06</s5>
</fC03>
<fC03 i1="07" i2="S" l="FRE">
<s0>Musique</s0>
<s5>07</s5>
</fC03>
<fC03 i1="07" i2="S" l="ENG">
<s0>Music</s0>
<s5>07</s5>
</fC03>
<fC03 i1="08" i2="S" l="FRE">
<s0>Voyage</s0>
<s5>08</s5>
</fC03>
<fC03 i1="08" i2="S" l="ENG">
<s0>Trip</s0>
<s5>08</s5>
</fC03>
<fC03 i1="09" i2="S" l="FRE">
<s0>Imaginaire</s0>
<s5>09</s5>
</fC03>
<fC03 i1="09" i2="S" l="ENG">
<s0>Imaginary</s0>
<s5>09</s5>
</fC03>
<fC03 i1="10" i2="S" l="FRE">
<s0>Héroïne</s0>
<s5>10</s5>
</fC03>
<fC03 i1="10" i2="S" l="ENG">
<s0>Heroin</s0>
<s5>10</s5>
</fC03>
<fN21>
<s1>013</s1>
</fN21>
</pA>
</standard>
</inist>
</record>

Pour manipuler ce document sous Unix (Dilib)

EXPLOR_STEP=$WICRI_ROOT/Wicri/Musique/explor/BourgeoisGentilV1/Data/PascalFrancis/Curation
HfdSelect -h $EXPLOR_STEP/biblio.hfd -nk 000007 | SxmlIndent | more

Ou

HfdSelect -h $EXPLOR_AREA/Data/PascalFrancis/Curation/biblio.hfd -nk 000007 | SxmlIndent | more

Pour mettre un lien sur cette page dans le réseau Wicri

{{Explor lien
   |wiki=    Wicri/Musique
   |area=    BourgeoisGentilV1
   |flux=    PascalFrancis
   |étape=   Curation
   |type=    RBID
   |clé=     Francis:14-0014535
   |texte=   De la «danseuse de temple» des voyageurs et missionnaires à la «bayadère» des philosophes et artistes des Lumières
}}

Wicri

This area was generated with Dilib version V0.6.33.
Data generation: Sun Sep 29 22:08:28 2019. Site generation: Mon Mar 11 10:07:23 2024