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Parties et parodies musicales à la Comédie-Française sous Louis XIV

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Parties et parodies musicales à la Comédie-Française sous Louis XIV

Auteurs : Francois Moureau

Source :

RBID : Francis:523-06-10306

Descripteurs français

English descriptors

Abstract

Si l'on a vu dans les pièces italiennes jouées à Paris sous Louis XIV la préhistoire de l'opéra comique du siècle suivant, la musique à la Comédie-Française dans les décennies qui suivirent la mort de Molière n'a guère retenu l'attention. Elle semble régresser par rapport aux comédies-ballets de l'époque du Maître et manquer de la fantaisie spectaculaire qui éclate chez les Italiens. Et pourtant la musique et la danse, autorisées chez les Français par les règlements, sont partout présentes dans les comédies des premiers successeurs de Molière. Certes le personnage du musicien reste une défroque ridicule sur cette scène, mais le musicien acquiert dans la réalité des spectacles une importance de plus en plus grande: on lui demande une musique originale qui remplace les vaudevilles, de colorer de sonorités nouvelles, par des voix ou des instruments singuliers, les airs qu'il fait chanter aux comédiens, de développer pour certains spectacles de Cour une dramaturgie lyrique particulière. Scène d'opéra en miniature, le divertissement final et conventionnel à la Dancourt règne en maître jusqu au début du XVIIIe siècle : c'est à la fois un hommage à l'Académie royale de musique que les Français parodient peu contrairement aux Italiens et la volonté de contenter le goût d'un public qui évolue vers la fusion des genres et des musiques.

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SO : Revue d'histoire du théâtre; ISSN 1291-2530; France; Da. 2005; No. 3; 227-242, 300, 301-302 [19 p.]; Abs. anglais
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