L’Espérance, Courrier de Nancy/Inventaire musical/1841

De Musamat
Révision datée du 29 mars 2021 à 13:39 par Pierre d'Houtaud (discussion | contributions) (samedi, 8 mai 1841.)
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Remarques

Journaux non paginés et non numérotés


samedi, 20 février 1841.

fascicule n°26

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C’est dimanche dernier, 14 da courant, qu’a eu lieu le sacre de M. Rœss, évêque de Rhodiopolis, coadjuteur de Strasbourg. Dès la veille, tous les préparatifs avaient eu lieu dans la cathédrale, qui était ornée de guirlandes et de draperies du meilleur goût. Mgr. l’archevêque de Besançon remplissait les fonctions de prélat consécrateur, et MM. SS. les évêques de St. Dié et de Joppé, coadjuteur de Nancy, celles de prélats assistants.
A neuf heures du matin, les portes delà cathédrale ayant été ouvertes, une foule immense, tant de la ville que des environs, a bientôt rempli la vaste basilique qui, depuis plus de trois siècles, n’avait pas vu pareille solennité sous ses voûtes majestueuses. Un clergé nombreux accouru pour assister au sacre de son nouvel évêque, entourait les prélats, et suivait avec un vif intérêt tous les détails d’une des plus majestueuses cérémonies de notre sainte religion. Tout s’est passé dans le plus grand ordre, et l’on peut dire dans un recueillement difficile à attendre d’une aussi nombreuse assistance, dans laquelle se trouvaient bon nombre de dissidents. Nous avons surtout remarqué le majestueux silence qui a accompagné les paroles de la consécration prononcées à haute voix, suivant l’usage , par l’archevêque officiant ; on eût dit que ce moment solennel où la victime sans tache descend sur nos autels, avait pénétré tous les cœurs d’un saint respect (*). Immédiatement après la messe et pendant le chant du Te Deum, le nouvel évêque accompagné de ses assistants, a fait processionnellement le tour de sa cathédrale , répandant sa première bénédiction sur la foule qui se pressait pour le contempler, et que contenait à peine une haie formée par les troupes de la garnison.

(*) La messe chantée en musique a été parfaitement exécutée par un nombreux orchestre ; on a remarqué surtout l'O salutaris ainsi que le Te Deum dont l'exécution n'a rien laissé à désirer.



mardi, 23 février 1841.

fascicule n°27

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Malgré des études fortsuivies sur la musique, il paraît qu’on s’est encore occupé fort peu de la pose et de l’accord des cloches. Ce que de grands artistes n’ont pas fait, le jeune Chicot, de Caen, vient de l’exécuter. Simple perruquier, il a quitté la boutique de sa mère pour parcourir d’abord le midi de l’Europe. Il a trouvé généralement que les leviers étaient trop longs, les battants sans proportion, la charpente massive et mal construite, enfin la couronne et la colombette des bourdons défectueuses. M. Chicot n’a pas seulement remédié à ces mauvaises conformations, il est parvenu aussi à réduire du tiers et même de moitié le nombre des sonneurs. C’est ce qu’ont attesté des fonctionnaires municipaux et ecclésiastiques de Bourges, Riom, Limoges, Grenoble, Chambéry. Des masses du poids de cinq à douze mille kilogrammes sont à présent mises en grande volée par quatre, au plus six hommes. Les deux capitales de la Russie, qui ont des cloches monstrueuses, profilent maintenant de l'invention de L’artiste français. M. Chicot a été appelé aussi en Suède, d’où il va revenir par les principales villes de l’Allemagne et de la Belgique.


mardi, 06 avril 1841.

fascicule n°45

Original [p. 3]
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Nous nous empressons d’annoncer aux amateurs de bonne musique, la présence parmi nous du célèbre pianiste et compositeur Mansuy; le souvenir qu’il nous a laissé de son talent doit être resté gravé dans la mémoire de tous.
Il donnera un concert le samedi, 10 de ce mois : Mlle Mansuy, cantatrice distinguée, et nous appartenant comme lorraine, se fera entendre pour la première fois en notre ville.
M. Mansuy comptant passer quelque temps à Nancy est dans l’intention d’offrir, comme à son dernier séjour, ses soins pour le professorat de piano. On pourra s’adresser chez lui, rue de l’Esplanade, n° 20, au rez-de-chaussée.



mardi, 18 mai 1841.

Original [p. 3]
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Lundi, à midi, les compagnons boulangers se sont rendus processionnellement et musique en tête, à l’église Saint-Rocb, pour y offrir le pain bénit, ainsi qu’il est d’usage le jour des Rogations. Les syndics du corps des boulangers, en voiture, ouvraient la marche, suivis d’une musique militaire, et d’nue autre recrutée parmi les boulangers ; venaient ensuite les maîtres boulangers et compagnons, portant à la boutonnière gauche un bouquet avec des rubans flottants et tenant à la main leurs grosses cannes à pommes d’ivoire. Le pain bénit, orné d’inombrables rubans et de drapeaux, était porté par quatre compagnons. Après la messe, le cortège a accompagné, dans le même ordre, les syndics à leur domicile.


Original [p. 4]
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COUCOURS.

Le 18 juin prochain, à 10 heures du matin, on procèdera dans la Cathédrale de Nancy, au choix d'un ORGANISTE, dont le TRAITEMENT FIXE ET ANNUEL est de 1200 fr., non compris un modique casuel ; cet emploi lui laisse entièrement libre la moitié des jours de l'année, et une partie des autres jours. Indépendamment du talent, les qualités morales et religieuses du concurrent seront prises en considération. Nous prions MM. les directeurs des feuilles périodiques correspondant avec la nôtre de vouloir bien répéter cet avis.



samedi, 8 mai 1841.

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UNE MATINEE MUSICALE. Il y a quelques jours, l’élite de la société de Nancy se réunissait dans la salle de l’Université pour y entendre un concert donné par une famille entière d’artistes. C’est une bonne idée que celle d’une matinée musicale pendant les chaleurs de l’été, et une intéressante famille que celle de M. Mansui. Quant a lui personnellement, sa décoration de la Légion-d’Honneur et ses cheveux blancs annoncent un homme blasé sur la gloire. Sa fille aînée, Mademoiselle Caliste, joint à un air de distinction et de modestie un talent véritable sur le piano. Néanmoins le piano a fait depuis Thalberg de si bruyants, de si effrayants progrès, qu’il deviendra bientôt impossible aux vrais amateurs de musique d’approcher de cet instrument, si ce n'est comme on le ferait d’un tambour, ou d’une machine curieuse, mais agréable, non pas.
A ceux et celles qui s’occupent de piano, et ne savent comment se frayer un passage à travers la foule de leurs concurrents, nous enseignons une voie nouvelle, aujourd’hui que la nouveauté même doit prouver sa noblesse par son ancienneté ; c'est la carrière l’organiste. Carrière magnifique et sainte, dans laquelle trébuchent tous ceux qui n’y entrent que par spéculation et non par sentiment. Nous n’avons pas en France dix organistes dignes de ce nom. Ce sont tous jeunes gens qui font un métier au lieu de remplir une vocation. Ils mériteraient qu’on leur mît sur la porte de leur orgue : « Un tel, se disant organiste, ne joue que du piano, ne touche à la messe que des opéras, et va-t-en ville. » Nous connaissons encore quelques-uns de vieux, mais braves représentants de la sainteté l’orgue. Venez les voir à l’église, priant dans les intervalles leur musique, refusant toute conversation, et ne faisant parler à l'instrument divin qu’un langage digne de leur àme et du lieu où il repose comme un vase sacré de plus.
Que si la jeune femme à qui s'adresse ce petit traité sur l’orgue nous répond qu’un artiste, ayant une famille à soutenir, une position à se faire, ne peut trouver le pain quotidien dans les sept ou huit cents francs alloués par la fabrique des meilleures églises ; nous lui répliquerons à notre tour que le vrai talent est toujours accompagné d’une foi vraie, et que ni Dieu ni les hommes n’abandonnent un talent pareil. Sans doute on ne fait pas au service de Dieu une fortune scandaleuse : on ne s’appelle ni Essler, ni Malibran, ni meme Rachel, mais on vit et fait vivre honnêtement son entourage ; on est simple charitable et considéré, ne fut-ce que de sa propre conscience : on soutient la vieillesse de ses parents ; on les retire de fa vie nomade et inquiète qui les use ; on élève sa gentille petite sœur ; et si l’on veut encore se marier, il y aura toujours en France quelque galant homme à la disposition d’une femme honorable. La fille d’un de ces organistes véritables dont nous parlions tout à l’heure, a épousé l’un des meilleurs notaires de Dijon ; cependant elle n’était ni bien belle, ni bien riche, et son père n’avait pas ce qu’on appelle un talent de premier ordre ; mais il avait donné à sa fille mieux que le talent et la fortune (quoique la dot ne fût pas à dédaigner) ; il lui avait donné sou bon esprit et ses excellentes façons.
Mademoiselle Caliste Mansui a donc une sœur? Oui, une belle et bonne enfant de neuf à dix ans, dont la voix est déjà formée, flexible, passionnée ; les gestes expressifs, la physiomie noble et prononcée. Mais tout en admirant dans cette pauvre enfant ce que la nature (c’est-à-dire la Providence) a fait pour elle , on regrette profondément qu’un pareil trésor de grâces extérieures soit destiné, de l’aveu même de son père, au triste esclavage du théâtre. Tout le monde ne sait peut-être pas qu’avant de recevoir le moindre applaudissement, il faut à l’actrice ou à la chanteuse des efforts multipliés, toujours pénibles, très-souvent dangereux pour sa vie-même. La plupart de ces femmes meurent poitrinaires ; et les autres... nous ne nous occupons pas de leur avenir moral. On ne réfléchit pas à tout cela , et l’on encourage la jeune enfant à se lancer dans une voie d’infortune. Aussi, quand la foule applaudissait Mademoiselle Ida Mansui, avons-nous protesté par un religieux silence, sans pour cela nous abstenir d’exprimer à M. son père toute notre admiration pour cette entant, mais en faisant hautement nos réserves contre la destinée fatale de ce charmant petit ange dont les parents assument ainsi la première responsabilité. Et lorsque nous entendions cette voix de dix ans chanter avec une expression de terreur profonde le grand air de Robert-le-Diable : Grâce, grâce... etc. Oui, disions-nous tout bas au public, grâce Mesdames, grâce pour cette chère enfant qui aspire à être si malheureuse, et dont vos sourires allument la dévorante vanité.
Entre autres romances consacrées de nos jours à l’éducation musicale des jeunes personnes, Ida en chanlait encore une, commençant par ces mots : Je meurs d'amour, qu’elle répétait la main sur le cœur et les yeux levés vers le ciel : puis la romance disait en finissant : On n'en meurt pas ; on n'en meurt pas !... Nous prions les auditeurs de la jeune Ida de ne pas se scandaliser : elle parlait d’amour profane ; mais elle pensait à l’amour divin. Celui-là seul ne fait pas mourir de désespoir ou de langueur, d’orgueil ou de faiblesse. Celui-la seul est durable, payé de retour, digne enfin du cœur encore pur de notre gracieuse Ida. C’est de ces cœurs d’enfants que le Christ a dit : Laissez—les venir à moi, le royaume du ciel est a eux. Et ailleurs, Faites les entrer dans ce royaume.
C’est pourquoi nous avons écrit cet article ; nous le confions à la bonne foi de la famille Mansui, dont nous sommes tout disposés à applaudir de nouveaux concerts, mais non à encourager les vues dramatiques ; nous croirions commettre un infanticide.
Un mauvais conseil, nne dangereuse flatterie peuvent seuls nous faire mal comprendre ; mais nous en appelons à l’intelligence de mademoiselle Caliste Mansui pour arriver plus tard à celle de sa jeune sœur, dont elle a le bonheur de faire l’éducation. J. R.


samedi, 29 mai 1841.

Original [p. 4]
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COUCOURS. Le 18 juin prochain, à dix heures du matin, on procèdera, dans la Cathédrale de Nancy, au choix d'un ORGANISTE, dont le traitement fixe et annuel est de 1,200 fr., non compris un modique casuel. Cet emploi lui laisse entièrement libre la moitié des jours de l'année, et une partie des autres jours. Indépendamment du talent, les qualités morales et religieuses seront prises en considération.



mardi, 01 juin 1841.

Original [p. 2]
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En mettant au concours la place d'organiste à la cathédrale de Nancy, MM. les administrateurs de cette église rendent un vrai service aux arts et à la religion : c'est un bon exemple que nous désirons voir imiter partout. On annonce pour le dix-huit juin prochain, époque de ce concours, l'arrivée de quelques hommes aussi distingués par leur talent que par leurs autres qualités personnelles.



mardi, 08 juin 1841.

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Le jour de la Pentecôte, Mrg l'évêque de Verdun a officié à la cathédrale. Beaucoup de militaires des trois régiments de la garnison assistaient à cette messe. Dans le choeur retentissaient les voix des chantres, la musique et les orgues, et tout cela produisait un ensemble harmonieux. Monseigneur est monté en chaire, revêtu des nouveaux ornements, provenant de sa nomination dernière par le St-Père. (Revue de l'Est.)



Samedi, 12 juin 1841.

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AVIS. Le concours pour la place d'organiste de la cathédrale de Nancy, qui avait été annoncé le 18, est remis au mardi suivant, 22 juin, à cause des cérémonies de l'Octave.



Jeudi,15 juillet 1841.

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La réception de l’orgue de la cathédrale de Toul s’est faite mardi dernier, 13 juillet, avec toute la pompe d’une solennité religieuse et musicale. A neuf heures, le son des cloches annonçait l’arrivée de Mgr l’évêque coadjuteur[NDLR 1], qui, mettant pied à terre, eut aussitôt à bénir un foule nombreuse empressée à saluer sa bienvenue. Après avoir reçu les hommages de son clergé et de M. le commandant de la place, S. G. se rendit à l’église par l’ancien cloître, dont on admire les élégantes ogives.
Toutes les autorités, et l’on pourrait dire toute la population de la ville de Toul, étaient réunies dans la vaste et belle cathédrale, et la tribune de l’orgue était encombrée de notabilités musicales, convoquées pour rendre justice aux talents et à la probité du facteur nancéien M. Cuvilier. Le Veni Creator, entonné par Monseigneur fut alterné par le chœur, et chacun des organistes prenait à son tour le clavier, préparé au gré de chacun par l’organiste titulaire, M. Abarca fils, qui avait ouvert lui-même ce concert religieux. Après la messe épiscopale, et l’allocution chaleureuse de M. le curé Delalle, les autorités ecclésiatiques et séculières montèrent à l’orgue pour en admirer le travail, tandis que l’idée mère de la cérémonie, l’idée religieuse, continuait à se formuler par le chant d’un psaume auquel l’orgue répondait par des accords variés. Après le salut donné par Monseigneur, et la quête faite par Mme la baronne de Vincent, toutes les notabilités civiles et religieuses furent conviées à un banquet offert par M. le curé Delalle. – Monseigneur ne voulut pas quitter la ville sans aller en personne féliciter les honorables chefs des diverses administrations. Et nous aussi, nous félicitons les Toulois de l’heureuse harmonie qui règne entre leurs sommités intelligentes ; c’est par un tel échange de bonne volonté et de charité d’une part, de zèle et de persévérance de l’autre, que la ville de Toul est appelée à reprendre son ancien rang de centre intellectuel.



Mardi, 31 aout 1841.

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Lunéville, le 26 août 1841.
Monsieur le Rédacteur,
Depuis quelques semaines Lunéville semblait avoir perdu, avec ses beaux régiments de hussards, tout ce qui lui donnait de l'éclat et de la vie. Mais aujourd'hui dans la matinée, on remarquait un mouvement extraordinaire dans la population à laquelle s'était mêlée une foule d'étrangers. On devinait qu'il se préparait quelque fête intéressante : c'était en effet une fête de famille, une distribution de prix.
A onze heures, le collège, avec ses 112 pensionnaires, avec une bonne partie de ses 150 externes, avec le nombreux personnel de ses professeurs, avec les autorités locales en grand costume, se dirigeait vers le Château, au son des tambours et des joyeuses fanfares d'une excellente musique formée dans le sein du pensionnat.
C'est seulement à la salle des trophées qu'on a pu juger du grand nombre d'étrangers accourus à cette solennité. La cérémonie était présidée par M. le sous-préfet. Le public regrettait que sa santé ne lui permit pas, d'adresser aux élèves comme d'habitude, quelques-uns de ces sages conseils qu'il sait si bien approprier à leur âge.
Le discours d'usage a été prononcé par M. Persil, professeur de sixième, qui a fait comprendre aux élèves, avec élégance et simplicité, tout le prix du temps, et le bon emploi qu'ils en doivent faire. Puis M. Aymé, adjoint, et remplaçant le maire, actuellement au conseil général, a retracé rapidement l'état florissant du collège de Lunéville, les encouragements de l'administration, les efforts des maîtres dont il a loué le zèle éclairé, etc. Enfin M. Titercher, professeur de rhétorique, a prononcé les noms des vainqueurs, au bruit des applaudissements de toute l'assemblée. Après la séance, j'ai eu à peine le temps d'admirer, dans un salon voisin, les portails, les plans, les cartes géographiques et autres ouvrages des élèves de M. Cobus, maître de de dessin. Car je voulais suivre encore une fois la musique qui a reconduit, dans un ordre parfait, professeurs, élèves, vainqueurs et vaincus, jusqu'à la cour du collège.
C'est alors seulement que je suis rentré chez moi, tout plein des douces émotions de cette délicieuse cérémonie, me répétant à moi-même, ce que tout le monde répète ici ; que le Principal actuel a donné à notre collège un brevet de longue vie, par les bons principes qu'il y fait régner, et par sa ferme et sage administration, autant que par l'habileté et le talent des professeurs dont il a su s'entourer.
Recevez, etc.......
L'un de vos abonnés : G. B.



Samedi, 6 novembre 1841.

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LEÇONS DE CHANT.
A. GIORDANI professeur de chant italien (ténor), membre de l'Académie de Bologne , chante dans les concerts et dans les soirées particulières, et donne des leçons en ville.
S'adresser rue de la Pépinière, n°35, au cabinet de lecture.



Mardi, 23 novembre 1841.

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MUSIQUE.
M. LOUIS STEZLE, successeur de Mme JOURDAN, rue Stanislas, 7, à l'honneur de prévenir le public, qu'il arrive de Paris, avec un grand assortiment de Musique nouvelle, Classique et Élémentaire en tous genres.
On trouve aussi chez lui des Partitions françaises et italiennes, des opéras de Rossini, Bellini, Donizetti, Meyerbeer, Halévy, Boieldieu, Weber, Dalayrac, Mercadante, Cimarosa, Méhul, Berton, Mozard et Bethowen.



Voir aussi

Liens externes :
Notes de la rédaction
  1. Alexis Basile Alexandre Menjaud a été nommé évêque coadjuteur de Nancy le 18 février 1839,