L’Espérance, Courrier de Nancy/Inventaire musical/1841 : Différence entre versions

De Musamat
(mardi, 01 juin 1841.)
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En mettant au concours la place d'organiste à la cathédrale de Nancy, MM. les administrateurs de cette église rendent un vrai service aux arts et à la religion : c'est un bon exemple que nous désirons voir imiter partout. On annonce pour le dix-huit juin prochain, époque de ce concours, l'arrivée de quelques hommes aussi distingués par leur talent que par leurs autres qualités personnelles.
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==Jeudi,15 juillet 1841.==
 
==Jeudi,15 juillet 1841.==

Version du 21 mars 2021 à 12:31

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Remarques

Journaux non paginés et non numérotés

mardi, 18 mai 1841.

Original [p. 4]
Lien

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COUCOURS.

Le 18 juin prochain, à 10 heures du matin, on procèdera dans la Cathédrale de Nancy, au choix d'un ORGANISTE, dont le TRAITEMENT FIXE ET ANNUEL est de 1200 fr., non compris un modique casuel ; cet emploi lui laisse entièrement libre la moitié des jours de l'année, et une partie des autres jours. Indépendamment du talent, les qualités morales et religieuses du concurrent seront prises en considération. Nous prions MM. les directeurs des feuilles périodiques correspondant avec la nôtre de vouloir bien répéter cet avis.


samedi, 29 mai 1841.

Original [p. 4]
Lien

COUCOURS. Le 18 juin prochain, à dix heures du matin, on procèdera, dans la Cathédrale de Nancy, au choix d'un ORGANISTE, dont le traitement fixe et annuel est de 1,200 fr., non compris un modique casuel. Cet emploi lui laisse entièrement libre la moitié des jours de l'année, et une partie des autres jours. Indépendamment du talent, les qualités morales et religieuses seront prises en considération.


mardi, 01 juin 1841.

Original [p. 2]
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En mettant au concours la place d'organiste à la cathédrale de Nancy, MM. les administrateurs de cette église rendent un vrai service aux arts et à la religion : c'est un bon exemple que nous désirons voir imiter partout. On annonce pour le dix-huit juin prochain, époque de ce concours, l'arrivée de quelques hommes aussi distingués par leur talent que par leurs autres qualités personnelles.


mardi, 08 juin 1841.

Original [p. 2]
Lien

En mettant au concours la place d'organiste à la cathédrale de Nancy, MM. les administrateurs de cette église rendent un vrai service aux arts et à la religion : c'est un bon exemple que nous désirons voir imiter partout. On annonce pour le dix-huit juin prochain, époque de ce concours, l'arrivée de quelques hommes aussi distingués par leur talent que par leurs autres qualités personnelles.



Jeudi,15 juillet 1841.

Original

La réception de l’orgue de la cathédrale de Toul s’est faite mardi dernier, 13 juillet, avec toute la pompe d’une solennité religieuse et musicale. A neuf heures, le son des cloches annonçait l’arrivée de Mgr l’évêque coadjuteur[NDLR 1], qui, mettant pied à terre, eut aussitôt à bénir un foule nombreuse empressée à saluer sa bienvenue. Après avoir reçu les hommages de son clergé et de M. le commandant de la place, S. G. se rendit à l’église par l’ancien cloître, dont on admire les élégantes ogives.

Toutes les autorités, et l’on pourrait dire toute la population de la ville de Toul, étaient réunies dans la vaste et belle cathédrale, et la tribune de l’orgue était encombrée de notabilités musicales, convoquées pour rendre justice aux talents et à la probité du facteur nancéien M. Cuvilier. Le Veni Creator, entonné par Monseigneur fut alterné par le chœur, et chacun des organistes prenait à son tour le clavier, préparé au gré de chacun par l’organiste titulaire, M. Abarca fils, qui avait ouvert lui-même ce concert religieux. Après la messe épiscopale, et l’allocution chaleureuse de M. le curé Delalle, les autorités ecclésiatiques et séculières montèrent à l’orgue pour en admirer le travail, tandis que l’idée mère de la cérémonie, l’idée religieuse, continuait à se formuler par le chant d’un psaume auquel l’orgue répondait par des accords variés. Après le salut donné par Monseigneur, et la quête faite par Mme la baronne de Vincent, toutes les notabilités civiles et religieuses furent conviées à un banquet offert par M. le curé Delalle. – Monseigneur ne voulut pas quitter la ville sans aller en personne féliciter les honorables chefs des diverses administrations. Et nous aussi, nous félicitons les Toulois de l’heureuse harmonie qui règne entre leurs sommités intelligentes ; c’est par un tel échange de bonne volonté et de charité d’une part, de zèle et de persévérance de l’autre, que la ville de Toul est appelée à reprendre son ancien rang de centre intellectuel.


Samedi, 6 novembre 1841.

Original
A. GIORDANI professeur de chant italien (ténor), membre de l'Académie de Bologne , chante dans les concerts et dans les soirées particulières, et donne des leçons en ville.

S'adresser rue de la Pépinière, n°35, au cabinet de lecture.


Voir aussi

Liens externes :
Notes de la rédaction
  1. Alexis Basile Alexandre Menjaud a été nommé évêque coadjuteur de Nancy le 18 février 1839,