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Vitalité et revitalisation des langues : une place pour chacune d’elles

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Vitalité et revitalisation des langues : une place pour chacune d’elles

Auteurs : Akira Y. Yamamoto ; Matthias Brenzinger ; María E. Villal N

Source :

RBID : ISTEX:6A10BA790C972685D6F56D47D8450DB79A42FE38

Abstract

De nombreuses langues sont en train de disparaître à jamais et, avec elles, des trésors du savoir humain. Les langues se perdent lorsqu’on cesse de les utiliser. Dans cet article, nous examinons quelques‐unes des raisons complexes qui peuvent conduire les locuteurs à abandonner la langue de leurs ancêtres en faveur d’une langue dominante. Nous évoquons aussi les moyens de stopper ou d’inverser cette tendance, laquelle s’explique, entre autres facteurs, par des changements dans les identités. De notre point de vue, l’acquisition d’une langue dite « mondiale » ne signifie pas forcément la perte de sa propre langue.

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DOI: 10.1111/j.1755-5825.2008.00024.x

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Curation

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Akira Y. Yamamoto
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<mods:affiliation>Akira Yamamoto est professeur émérite en anthropologie et en linguistique à l’Université du Kansas. Il travaille en étroite collaboration avec l’Indigenous Language Institute (ILI), l’Oklahoma Native Language Association (ONLA) et l’American Indian Language Development Institute (AILDI) et préside, avec Matthias Brenzinger, le Groupe d’experts spécial de l’UNESCO sur les langues en danger.</mods:affiliation>
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Matthias Brenzinger
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<mods:affiliation>Matthias Brenzinger est chercheur titulaire à l’Institut des études africaines de l’Université de Cologne (Allemagne) et auteur. Il a dirigé des travaux sur le terrain et des publications sur les langues en danger du continent africain, et soutenu les activités de diverses communautés visant à préserver leur langue. Il participe également à des projets de l’UNESCO sur les langues menacées de disparition, et copréside le Groupe d’experts spécial de l’UNESCO sur les langues en danger. Il est par ailleurs le Secrétaire général du WOCAL (World Congress of African Linguistics) et l’organisateur de WOCAL6, qui se tiendra à l’Université de Cologne en 2009.</mods:affiliation>
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María E. Villal N
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<mods:affiliation>María Villalón est maître de conférences à l’Université centrale du Venezuela. Spécialisée dans les langues autochtones du Bassin de l’Orénoque, en 1998 et 2002, elle a collaboré avec l’Institut vénézuélien du patrimoine culturel (IPC) en dirigeant son programme sur les langues kari’ña et mapoyo et coopéré avec le Groupe d’experts spécial de l’UNESCO sur les langues en danger. Elle conseille actuellement des institutions gouvernementales vénézuéliennes et des ONG sur l’éducation bilingue interculturelle et la planification linguistique.</mods:affiliation>
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