Determinants of farmer demand for fee-for-service extension in zimbabwe's agricultural sector : The case of central province in mashonaland
Identifieur interne : 000043 ( PascalFrancis/Corpus ); précédent : 000042; suivant : 000044Determinants of farmer demand for fee-for-service extension in zimbabwe's agricultural sector : The case of central province in mashonaland
Auteurs : Richard Foti ; Innocent Nyakudya ; Mack Moyo ; John ChikuvireSource :
- Quarterly bulletin of the International Association of Agricultural Information Specialists [ 1019-9926 ] ; 2007.
Descripteurs français
- Pascal (Inist)
English descriptors
- KwdEn :
Abstract
Dans les années récentes, l'agriculture dans le monde en développement a été de plus en plus basée sur la science, et dépendante des avances technologiques complexes. Ceci a placé une plus grande importance sur le transfert rapide et efficace de ces technologies avancées vers les paysans. En Afrique, les gouvernements ont pris traditionnellement un rôle dominant pour fournir les services de vulgarisation agricole à cause de la contribution importante que le secteur de la vulgarisation agricole apporte au développement agricole. Cependant, les déficits fiscaux grandissants dans beaucoup de pays en développement et, dans plusieurs cas, les problèmes de faible gouvernance des programmes publics durant la dernière décennie ont dévié de plus en plus l'attention vers comment rendre la vulgarisation plus efficace par rapport au coût, et plus spécifique aux besoins des paysans. Au Zimbabwe, pendant que plusieurs études se sont concentrées sur la description de l'opération et l'efficacité du système de vulgarisation dominé par le gouvernement actuel, on n'a pas assez exploré le potentiel pour établir un système de vulgarisation privé payant. Il pourrait soulager le gouvernement de la plupart de son fardeau de vulgarisation agricole et lui épargner des milliards de dollars qu'il pourrait allouer à d'autres secteurs nécessiteux de l'économie. En même temps cela permettrait le développement d'un système de connaissance basé sur la demande et pertinent aux besoins des paysans. L'objectif principal de cet article est de trouver les facteurs qui détermineraient l'établissement d'un système de vulgarisation privé payant pour les petits exploitants agricoles du Zimbabwe, et de recommander des leaders primordiaux possibles pour lancer un système de vulgarisation agricole commercial et privé pour les exploitants à petite échelle. Un modèle logistique de régression de choix binaire a été utilisé comme outil analytique majeur. L'étude a trouvé que le degré de commercialisation des exploitations agricoles, le revenu des paysans, l'emplacement du paysan (soit urbain, rural ou commercial), la taille de la ferme, et l'attitude du paysan vis-à-vis du risque affectent significativement la demande pour un service de vulgarisation privé payant. Il conclut que ces variables devraient être considérées lorsqu'on vise à fournir les paysans avec des services de vulgarisation commerciaux.
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| pA |
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|---|
Format Inist (serveur)
| NO : | PASCAL 07-0355690 INIST |
|---|---|
| ET : | Determinants of farmer demand for fee-for-service extension in zimbabwe's agricultural sector : The case of central province in mashonaland |
| AU : | FOTI (Richard); NYAKUDYA (Innocent); MOYO (Mack); CHIKUVIRE (John) |
| AF : | Bindura University of Science Education/Bindura/Zimbabwe (1 aut.) |
| DT : | Publication en série; Niveau analytique |
| SO : | Quarterly bulletin of the International Association of Agricultural Information Specialists; ISSN 1019-9926; Royaume-Uni; Da. 2007; Vol. 52; No. 1-2; Pp. 28-34; Abs. français/espagnol; Bibl. 1/4 p. |
| LA : | Anglais |
| FA : | Dans les années récentes, l'agriculture dans le monde en développement a été de plus en plus basée sur la science, et dépendante des avances technologiques complexes. Ceci a placé une plus grande importance sur le transfert rapide et efficace de ces technologies avancées vers les paysans. En Afrique, les gouvernements ont pris traditionnellement un rôle dominant pour fournir les services de vulgarisation agricole à cause de la contribution importante que le secteur de la vulgarisation agricole apporte au développement agricole. Cependant, les déficits fiscaux grandissants dans beaucoup de pays en développement et, dans plusieurs cas, les problèmes de faible gouvernance des programmes publics durant la dernière décennie ont dévié de plus en plus l'attention vers comment rendre la vulgarisation plus efficace par rapport au coût, et plus spécifique aux besoins des paysans. Au Zimbabwe, pendant que plusieurs études se sont concentrées sur la description de l'opération et l'efficacité du système de vulgarisation dominé par le gouvernement actuel, on n'a pas assez exploré le potentiel pour établir un système de vulgarisation privé payant. Il pourrait soulager le gouvernement de la plupart de son fardeau de vulgarisation agricole et lui épargner des milliards de dollars qu'il pourrait allouer à d'autres secteurs nécessiteux de l'économie. En même temps cela permettrait le développement d'un système de connaissance basé sur la demande et pertinent aux besoins des paysans. L'objectif principal de cet article est de trouver les facteurs qui détermineraient l'établissement d'un système de vulgarisation privé payant pour les petits exploitants agricoles du Zimbabwe, et de recommander des leaders primordiaux possibles pour lancer un système de vulgarisation agricole commercial et privé pour les exploitants à petite échelle. Un modèle logistique de régression de choix binaire a été utilisé comme outil analytique majeur. L'étude a trouvé que le degré de commercialisation des exploitations agricoles, le revenu des paysans, l'emplacement du paysan (soit urbain, rural ou commercial), la taille de la ferme, et l'attitude du paysan vis-à-vis du risque affectent significativement la demande pour un service de vulgarisation privé payant. Il conclut que ces variables devraient être considérées lorsqu'on vise à fournir les paysans avec des services de vulgarisation commerciaux. |
| CC : | 001A01A06B; 205 |
| FD : | Afrique; Zimbabwe; Agriculture; Technologie information; Politique information; Transmission information; Système information; Méthodologie; Enquête; Résultat; Recommandation |
| ED : | Africa; Zimbabwe; Agriculture; Information technology; Information policy; Information transmission; Information system; Methodology; Survey; Result; Recommendation |
| SD : | Africa; Zimbabwe; Agricultura; Tecnología información; Política información; Transmisión información; Sistema información; Metodología; Encuesta; Resultado; Recomendación |
| LO : | INIST-15400.354000162385040040 |
| ID : | 07-0355690 |
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Ceci a placé une plus grande importance sur le transfert rapide et efficace de ces technologies avancées vers les paysans. En Afrique, les gouvernements ont pris traditionnellement un rôle dominant pour fournir les services de vulgarisation agricole à cause de la contribution importante que le secteur de la vulgarisation agricole apporte au développement agricole. Cependant, les déficits fiscaux grandissants dans beaucoup de pays en développement et, dans plusieurs cas, les problèmes de faible gouvernance des programmes publics durant la dernière décennie ont dévié de plus en plus l'attention vers comment rendre la vulgarisation plus efficace par rapport au coût, et plus spécifique aux besoins des paysans. Au Zimbabwe, pendant que plusieurs études se sont concentrées sur la description de l'opération et l'efficacité du système de vulgarisation dominé par le gouvernement actuel, on n'a pas assez exploré le potentiel pour établir un système de vulgarisation privé payant. Il pourrait soulager le gouvernement de la plupart de son fardeau de vulgarisation agricole et lui épargner des milliards de dollars qu'il pourrait allouer à d'autres secteurs nécessiteux de l'économie. En même temps cela permettrait le développement d'un système de connaissance basé sur la demande et pertinent aux besoins des paysans. L'objectif principal de cet article est de trouver les facteurs qui détermineraient l'établissement d'un système de vulgarisation privé payant pour les petits exploitants agricoles du Zimbabwe, et de recommander des leaders primordiaux possibles pour lancer un système de vulgarisation agricole commercial et privé pour les exploitants à petite échelle. Un modèle logistique de régression de choix binaire a été utilisé comme outil analytique majeur. L'étude a trouvé que le degré de commercialisation des exploitations agricoles, le revenu des paysans, l'emplacement du paysan (soit urbain, rural ou commercial), la taille de la ferme, et l'attitude du paysan vis-à-vis du risque affectent significativement la demande pour un service de vulgarisation privé payant. Il conclut que ces variables devraient être considérées lorsqu'on vise à fournir les paysans avec des services de vulgarisation commerciaux.</div></front></TEI><inist><standard h6="B"><pA><fA01 i1="01" i2="1"><s0>1019-9926</s0></fA01><fA03 i2="1"><s0>Q. bull. Int. Assoc. Agric. Inf. 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