Groupe 3 : Tourisme animalier
Le tourisme animalier
Participants
Noémie Jouhaud
Françoise Darnaud
Françoise Carrade
Mathieu Gentile
Définition
Tourisme organisé et motivé par la vue et l'observation de la faune, en cage ou sauvage.
Christian Pinet :
Axes de travail
- les zoos, fermes, les parcs d'attractions (avec dauphins, orques etc) : les animaux "d'élevage" au sens large et un public plutôt familial qui s'adonne à ce genre de tourisme. Il faudrait étudier qui ? pourquoi ? comment ? (tourisme local? national ? international ?...), quelles stratégies touristiques ? quelle règlementation ?...
La ferme aux crocodiles rentre a priori dans ce premier axe (parcs "d'élevage"), il faudrait voir si on y inclue aussi les événements avec les animaux : foires, shows (cirque, rodéos, courses de chiens, courses hippiques...) - et quels publics ce type d'événements rassemblent
- wildlife tourism : le tourisme d'observation d'animaux sauvages : dans les parcs nationaux, partout à travers le monde. Comment des activités se développent autour de cette observation : croisières aux baleines, balades en canoé ou plongée pour voir de prés les phoques, les requins, les dauphins, etc. Guides et observation des animaux de foret ou de la savane, les safaris, les trecks animaliers, avec les impacts sur la faune que cela peut impliquer. L'observation par soi-même avec sa famille, ses amis, etc.
Quel tourisme se développe autour de ces actions ? selon quelles modalités ? (les ours qu'on gave au québec pour pouvoir les montrer aux touristes...) Les sensibilisations qui sont menées autour de ces animaux (dans les parcs nationaux par exemple) VS volonté de rentabilité de certaines organisations... et là encore : quel public ? quels professionnels ? quelles règles ? comment ? pourquoi ? quel argent ? etc. La réintroduction d'animaux sauvages dans des perspectives d'attraction touristiques, et entre en tension avec les revendications locales (réintroduction loup et ours en France)
- la chasse - forme de tourisme particulier ; chasse sportive ou non, avec différents publics : des locaux ou nationaux, ou internationaux, qui vont dans les zones autorisées spécialement quand la chasse est ouverte dans des espaces de l'Etat (régulation des espèces en forêt, prisée au Canada) cf. actions durables ; ou (VS) chasse dans des réserves privées, par exemple les milliardaires qui vont chasser - parfois des espèces protégées - comme le tigre ou le lion en Afrique dans des lieux d'élevage.. spécial chasse ! (par exemple les tigres et lions blancs, pauvres erreurs génétiques, entretenues pour la chasse privée, avec des animaux parfois aveugles ou sourds que l'on lache comme des poules pour faire des battues...).
- l'écovolontariat et le tourisme durable : forme de tourisme cher, puisque les bénévoles (souvent jeunes et passionnés d'animaux), payent leurs voyages (billet, hébergement, nourriture) et travaillent bénévolement pour épauler les scientifiques, associations, ou autres professionnels dans différentes structures : réserves, parcs, plages (pontes des tortues). Il y a des structures qui semblent particulièrement sympathiques, associations raisonnables (en france A Pas de Loups, par exemple) et d'autres qui proposent des missions qui coutent des fortunes (Project Abroad par exemple).Par ailleurs cela se fait beaucoup du côté anglais/américain
photos
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Liens
etc etc