Bulletin de la Société d'archéologie lorraine (1851) Lepage, Mansuy

De Wicri Nancy

Mansuy Gauvain (biographie artistique)


 
 

Titre
Mansuy Gauvain (biographie artistique)
Auteur
Henri Lepage
Dans
Bulletin de la Société d'archéologie lorraine Tome 2, 1851, p. 51-59,
Version en ligne
sur le site Gallica

Cette page wiki donne une réédition numérique d'un article publié en 1851 par Henri Lepage. On notera page 55 une controverse avec François-Antoine Chevrier.

Deux œuvres de Mansuy Gauvin citées dans cet article

La statue de la Vierge dans l'église de Bonsecours
La statue équestre du duc Antoine

Texte original

Pages 51, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59.

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MANSUY GAUVAIN


(BIOGRAPHIE ARTISTIQUE)

PAR M. HENRI LEPAGE


PRÉSIDENT DE LA SOCIÉTE

De tous les artistes lorrains de la première moitié du XVIe siècle, un seul a eu l'heureux privilège d'échapper à l'oubli et d'attacher son nom à l'histoire de cette époque ; un seul a eu le bonheur de passer à la postérité, entouré d'une auréole de gloire d'autant plus radieuse qu'elle brille au milieu de plus épaisses ténèbres.

Cet homme, chacun l'a deviné, c'est Ligier Richier, l'immortel auteur du Sépulcre de St-Mihiel.

Cet artiste a, si l'on peut s'exprimer ainsi, absorbé tous ses contemporains, pareil à un fleuve qui grossit ses flots d'une foule de rivières et de ruisseaux inconnus, et promène majestueusement son cours à travers des contrées auxquelles


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il donne son nom. Tel fut Richier non-seulement pour le temps où il vécut, mais encore pour celui qui suivit sa mort : les élèves qu'il forma, les sculpteurs qui essayèrent de s'inspirer de ses œuvres et de son génie, ont créé une école nombreuse qui a transmis de siècle en siècle la mémoire du maître.

Quelque légitime, quelque méritée que soit la réputation du grand artiste, l'histoire a été jusqu'à présent trop injuste ou trop dédaigneuse, je ne dirai pas pour ses rivaux (peut-être n'en eut-il point !), mais pour ses émules, et le silence qu'elle a gardé sur ces derniers pourrait faire supposer que notre pays ne produisit alors que de grossiers tailleurs d'images dont les travaux ne valent pas un regard de la postérité.

C'est là une erreur qu'il importe de détruire : la Lorraine ne s'était pas épuisée en donnant le jour à son Michel-Ange mère féconde, elle eut, en même temps que lui, et après lui encore, des enfants dignes d'elle, dignes de soutenir le renom qu'elle avait acquis dans les arts, et qui déjà lui donnait une place au premier rang parmi les provinces les plus avancées dans la civilisation.

On a déjà soulevé un coin du voile qui avait trop longtemps couvert les artistes qui vécurent sous les règnes de René II et d'Antoine ; des travaux récents ont mis en lumière bien des noms qui n'avaient pas encore été prononcés ; ils ont restitué leurs titres de gloire à bien des peintres, des verriers, des sculpteurs, des architectes qui bâtirent ou décorèrent le palais de nos ducs, la collégiale princière de St-Georges, le monastère et l'église des Cordeliers (1).


  (1) Voir ma notice sur la Collégiale Saint-Georges, insérée au tome 1er, des Bulletins de la Société d'Archéologie lorraine, et le travail ci-après de M. l'abbé Guillaume.


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En attendant que quelqu'un vienne retracer la vie de ces artistes et nous faire dignement apprécier leurs œuvres, je crois devoir réparer le plus injuste et le moins pardonnable des oublis, en consacrant quelques lignes à un homme dont nous admirons chaque jour les ouvrages sans savoir à qui les attribuer : je veux parler de l'habile tailleur d'images qui déchiqueta les ornements de la Porterie ducale et sculpta cette statue du duc Antoine, que le ciseau de Giorné Viard va bientôt nous rendre.

Cet artiste, le plus souvent désigné sous le simple prénom de Mansuy, s'appelait Mansuy Gauvain.

La Lorraine peut-elle s'enorgueillir de lui avoir donné naissance ? C'est ce que j'ignore en tout cas, elle en fit son enfant d'adoption, et, à ce titre, elle peut légitimement revendiquer sa gloire. C'est, d'ailleurs, ainsi qu'on va le voir, dans la capitale de cette province qu'il passa la majeure partie de sa vie, travaillant à embellir les édifices dont les prédécesseurs d'Antoine avaient jeté les fondements.

La première œuvre par laquelle Mansuy révéla son talent, fut une statue de la Vierge, destinée à la chapelle de Bon-Secours chapelle qui venait d'être fondée (1498) « par le commandement et ordonnance du roi de Sicile. »

René, voulant contribuer à la décoration intérieure de ce monument commémoratif, et témoigner en même temps sa reconnaissance à la Mère de Dieu, fit faire, en 1505, par Mansuy Gauvain (1), la statue qui est encore aujourd'hui l'un des plus beaux et des plus précieux ornements de l'église de Bon-Secours.

Cette image vénérée est placée derrière l'autel, dans une


  (1) Payé par le receveur à Mansuy, menusier, pour avoir taillié ung ymaige de Nostre Dame affublée d'un manteau ouvert et taillié gens de tous e~tas. viij fr. v gros. (Comptes du Receveur général de Lorraine pour 1505-1506.)


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grande niche du haut de laquelle de petits anges laissent pendre des guirlandes de fleurs. La Vierge, les pieds posés sur le globe du ciel parsemé d'étoiles (1), étend son manteau sur vingt personnages agenouillés et élevant vers elle des mains suppliantes. On distingue, à sa gauche, des rois, des reines et des princes; à sa droite, des moines, des évêques et un pape. Ce groupe, taillé dans une seule pierre, est d'une exécution remarquable. La peinture dont le tout est revêtu, est l'ouvrage d'un artiste inconnu, à qui Philippe de Gueldres commanda elle-même ce travail (2), voulant, sans doute, s'associer ainsi à l'hommage offert par son époux à la Vierge qui l'avait rendu victorieux.

Il parait qu'avant de faire cette statue, Mansuy ne s'était encore exercé que sur des ouvrages en bois ; c'est, du moins, ce que peut faire supposer la qualification de menuisier (3) qui lui est donnée dans les comptes du Receveur général, où sont mentionnées les particularités que je viens de rappeler. Simple ouvrier d'abord, il était probablement parvenu, le travail venant en aide à son génie, à se faire un nom dans les arts.

Au reste, de pareils exemples sont nombreux dans notre histoire la plupart des illustrations dont notre pays s'honore, n'ont dû qu'à elles-mêmes leur renommée, et presque toutes sont sorties d'une chaumière ou d'un atelier : témoins,


  (1) Les anges de la niche, de même que le globe sur lequel reposent les pieds de la Vierge, sont modernes; ils datent de l'époque où Stanislas fit replacer la statue dans la nouvelle église de Bon-Secours.

  (2) A Marlin Deniset, chappellain de Nostre Dame de Bon Secours, que la Royne lui a ordonné bailler ceste fois pour faire paindre une ymage de Nostre Dame à plusieurs persounaiges adiacens à icelle et pour mectre en ladicte chappelle, vj florins d'or... ix livres xij sols. (Comptes du Receveur général de Lorraine pour l'année 1505-1506.)

  (3) Voir la note de la page précédente.


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entre beaucoup d'autres qu'il serait facile de citer, les frères Spierre, enfants d'un pauvre cordonnier ; Claude le Lorrain, fils d'un simple laboureur !

L'image de la Vierge de Bon-Secours fut probablement suivie de travaux importants, parmi lesquels je crois que, malgré l'absence de documents précis à cet égard, on peut placer les sculptures de la Porterie ducale; ces travaux signalèrent leur auteur à l'attention publique, et lorsqu'en 1511, Antoine veut faire tailler sa représentation pour en décorer l'entrée de sa « triomphante maison ducale » (1), c'est Mansuy Gauvain qu'il choisit, c'est à lui qu'il confie cette œuvre capitale (2).

Je ne reviendrai pas ici sur ce que j'ai dit de la statue du duc Antoine dans mon travail sur la Galerie des Cerfs, je me bornerai à relever une double erreur qui s'est produite dans ces derniers temps encore et qu'il importe de détruire. On a prétendu, peut-être d'après les assertions d'un écrivain trop souvent peu digne de foi (3)[NC 1], que la statue qui se voyait au-dessus du portail du Palais, était celle du vainqueur de Charles-le-Téméraire. Il n'en est rien, et, quelque singulier que cela puisse paraitre, c'est bien Antoine qui, de son vivant, fit tailler son portrait et le fit placer au centre de la Porterie qu'il venait de faire si magnifiquement décorer (4)[NW 1]. On a prétendu encore, et cette seconde erreur n'est pas [sans gravité],


  (1) Expression employée par Edmond du Boulay dans la Vie et Trépas des deux princes de paix.

  (2) Voir ma notice sur la Galerie des Cerfs, insérée au tome Ier des Bulletins de la Société d'Archéologie, pages 103 et 104.

  (3) Chévrier, Histoire de Lorraine et de Bar.

  (4) On lit dans le registre des dépenses du duc : « Payé par le Receveur à Mensuy, ymageur... pour avoir. taillé le pourtrait de Monseigneur qui est à cheval sur le portal de la maison.

Or, lorsqu'il est parlé de René Il dans les comptes, soit des trésoriers, soit des receveurs généraux de Lorraine, ce prince est toujours qualifié de Roi (de Sicile).

Une autre preuve de l'erreur commise par Chévrier, est la médaille d'argent gravée dans D. Calmet, et qui fut probablement frappée en commémoration de l'érection de la statue : le prince y est bien représenté comme dans les anciennes vues du Palais Ducal, et autour de son effigie se lit la légende: ANTONIVS DVX LOTHOR. ET BARI.


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sans gravité, qu'Antoine s'était fait représenter l'épée haute, dans une attitude menaçante, pour rappeler ses combats contre les paysans d'Allemagne et les sanglantes victoires qu'il avait remportées sur eux. Cette assertion est pleinement démentie par les faits c'est en 1525 qu'eut lieu la guerre des Rustauds, et l'érection, de la statue d'Antoine remonte à l'année 1511. N'est-il pas tout naturel de supposer que ce prince ait simplement voulu perpétuer le souvenir de ses exploits sous les murs de Gênes et dans les champs d'Agnadel et de Marignan, où, suivant l'expression des chroniqueurs, il s'était battu « en brave et franc chevalier? ».

En 1506, un sculpteur de Bar, nommé Jean Crock, avait été chargé de faire le mausolée ou, suivant l'expression usitée alors, la sépulture du duc de Bourgogne pour l'église St-Georges de Nancy (1). Ce monument s'étant dégradé, on confia à Mansuy, en 1512, le soin de le restaurer il y refit plusieurs petites pièces et remit deux jambes neuves à la statue du prince (2).

En 1527, le duc Antoine, voulant récompenser Mansuy des nombreux et remarquables travaux que cet artiste n'avait cessé d'exécuter au Palais, lui assigne, sur la recette générale


(1) Voir ma notice sur la Collégiale Saint-Georges, précédemment citée.

(2) Payé à Mansuy, ymaigeur, par appoinctement à lui fait d'avoir taillé et mys deux jambes neufves en la representalion du feu duc de Bourgongne e-gtant en l'eglise S. George, et radoubé aucunes petites pieces de ladite sepulture. jiij fr. (Trente-quatrième année de George des Moynes, receveur du passaige de Nancy. 1511-1512.)


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de Lorraine, une pension, afin de l'aider à subvenir aux besoins de sa famille et le mettre à même de se fixer irrévocablement à Nancy (1). Cette faveur, si honorable pour celui à qui elle était accordée, prouve quelle estime le prince portait à son tailleur d'images, et quel prix il attachait à ses œuvres.

A dater de cette époque, il ne se fait pas une construction au Palais Ducal, que Mansuy ne soit appelé à l'embellir en 1527, il sculpte les colonnes et les chapiteaux de la nouvelle fontaine qu'Antoine fait ériger dans, le jardin de la Cour (2), et c'est lui qui, plus tard, dirige l'érection de ce monument (3).

En 1529, il exécute différents travaux dans les appartements


(1) Monseigneur a de nouvel assigné à Mansuy, tailleur d'ymaiges, la somme de vingt frans, xij gros pour franc, pour aidier à l'entretenement de luy, sa femme et ses enffans, eu consideratiou de ce qo'il a tousjours par cy devant besoiognié à l'ediffice de la maison de mondit seigneur à Nancey, et meismement que mondit seigneur le fait retirer audit Nancey pour y faire demeurance affin de se servir de luy, payant lesdits xx fr. jusques à bon plaisir de mondit seigneur aux termes de Sainct Jehan et Noel par moitié. (Comptes du Receveur général de Lorraine pour l'année 1527-1528.)

(2) Dans un chapitre des comptes du Receveur général, pour 1527-1528, intitulé Despence pour la nouvelle fontainne du jardin de Monseigneur, et à la suite de plusieurs mentions relatives à III dépense faite par Mansuy pour aller visiter les carrières de Moncel et de Vic, on lit

« A Mansuy, ymaigier, pour l'appoiuctement fait avec luy en la chambre des comptes d'avoir poly et nelloyé les six colombes que l'on a amené de Lombardie et qui sont assises à l'entour de ladicte fontainne ensemble les sourbasses et chappitelz à raison de deux escus l'une, qui font. xxviij livres xvj sols. »
«Il A luy pour avoir toillié les deux colombes sorbasses et chappitelz de la pierre que l'on a amené de la poiriere de Vy, les nettoyé et poly. uij livres 'Viij sois. »

(2) Dans un chapitre des comptes du Cellerier de Nancy, pour 1534-1535, intitulé « Despence pour asscoir la fontaine de jaspe du jardin (du palais) », on trouve la mention suivante « Payé cinq fraucs et demi à Nansuy, ymaigier, pour onze journées qu'il a vacqué à asseoir et polir ladile fontaine. »


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de la duchesse de Lorraine, et fait une cheminée de marbre pour le cabinet de cette princesse (1).

En 1534, il prépare plusieurs pierres de jaspe destinées à supporter un grand « chandelier » de cuivre dans l'église Saint-Georges (2).

En 1542, il restaure différentes statues représentant des sujets sacrés ou profanes, placées sur les cheminées des chambres du Palais, et fait d'autres menus ouvrages de peu d'importance (3). La même année, nous le voyons travailler avec Jean Mansuy, son fils, comme lui tailleur d'images, dans l'église des Clarisses de Pont-à-Mousson (4). C'était là, on le


(1) Délivré à Mansuy Gauvain, ymaigier, quatre resaux de blé que notre souveraine dame lui a donné celle fois pour aucuns ouvraiges qu'il a faiz pour elle. (Comptes du Cellerier de Nancy pour 1529-1530.)

Payé par le receveur à Mansuy l'ymaigier, demeurant à Nancy, 45 francs pour une cheminée de marbre qu'il il fait on cabinet de Madame, marchandé par Hugues, peintre. (Comptes du Receveur général pour {1529-1530.)

(2) Dans un chapitre des comptes du Cellerier de Nancy; pour 1534-1536, consacré à la dépense faite « pour parfaire le grand cbandellier de cuyvre de l'église Mr S. George, au bout de la sépulture des ducs Jehau et Nicolas, » on lit « Payé à Mansuy, ymaigier, douze francs pour avoir fourny, acouslré et polly une grande pierre de jaspe quarée et deux autres pierres aussy de jaspe qu'il a myses et assyses entre les pilliers dudit chalidellier. »

(3) A Mansuy Gauvain, ymaigier, demeurant à Nancy, 18 gros pour avoir recolé, poly et raeoustré les petis ymaiges qui sont sur la cheminée de la chambre dorée cHant du Rond, assavoir ung saint Sé- bastien auquel il a refJaict une jambe toute neufve. Item trois déesses qu'il a recolé et repoly. Item ung Dieu de Pitié auquel il a refJaict une jambe neuive et fait des couvertes en deux coppies (probablement coupes), et repoly ¡Jeux salieres d'albastre. (Comptes du Cellerier de Nancy pour 1542-1543).

(4) A Mansuy, ymaigier demeurant à Nancy, pour la façon de deux colonnes de nouvelles pierres, faites et mises en l'église des sœurs de Saincle Claire du Pont à Mousson, et les avoir dressées, par marchié il luy fait par le beau père confesseur. il fr.

A Jehan Mansuy, ymaigier demeurant il Nancy, de l'ordonnance de notre souverain seigneur, pour ung tableau de crucifiement de pierre de marbre que notredit seigneur a donné à la Royne... xx fr.

A Jehau Mansuy, ymaigier, pour avoir fait une grande crosse et deux écussons avec un ange, le tout de noir, à mcdre sur le grant anlel en l'eglise des sœurs du couvent du Pont à Mousson, que la Royne a fait faire, lequel Monseigneur a ordonné le payer. xviij fr. (Comptes du Receveur général pour 1542-f545.)


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sait, que Philippe de Gueldres, fatiguée des grandeurs humaine, avait cherché un asile où elle pût se consacrer toute entière à Dieu.

Ici s'arrête la carrière de Mansuy à en juger par le temps écoulé entre ses premiers et ses derniers travaux, cet artiste devait être arrivé alors à un âge assez avancé. C'est en 1505 qu'il avait sculpté la Vierge de Bon-Sccours, et c'est en 1542 qu'il manie pour la dernière fois le ciseau qui avait produit tant d'ouvrages remarquables. Quant à son fils, on ne connaît de lui que le « tableau de crucifiement de pierre de marbre » une grande crosse, deux écussons et un ange qu'il fit pour les religieuses de Sainte-Claire (1).

Tels sont les seuls documents qu'il m'a été possible de recueillir sur l'auteur des décorations de la Porterie ducale et de la statue d'Antoine. Lorsque l'on considère l'importance des œuvres de ce sculpteur, lorsqu'on le voit passer presque toute sa vie à embellir le Palais de nos souverains, le monument le plus grandiose que possédât la capitale de la Lorraine, on a le droit de s'étonner que pas un des contemporains de cet artiste n'ait cherché à perpétuer sa mémoire. Comment se fait-il, par exemple, que Volcyr, qui a si minutieusement décrit les merveilles du Parc d'honneur, n'ait rien dit des édifices qu'il avait vus s'élever sous ses yeux, non plus que des peintres, des tailleurs d'images, des architectes qui avaient bâti ou décoré ces édifices ?



(1) Voir la note précédente.


Notes complémentaires

Concernant la wikification du texte
  1. Dans l'édition originale, cette note est démarrée en page 55 et se poursuit sur la page 56.
Notes explicatives
  1. A ce propos voir également une autre controverse avec Chevrier dans l'ouvrage Le Palais ducal de Nancy.

Voir aussi

Dans le réseau Wicri :

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