Das Rolandslied (1874) Konrad, Bartsch/Chapitre II : Différence entre versions

De Wicri Chanson de Roland
(En allemand)
(Traduction)
 
Ligne 31 : Ligne 31 :
  
 
===Traduction===
 
===Traduction===
L'empereur présente la demande de Marsile aux princes. Roland, Olivier, Turpin et Naimes, voyant à travers l'histoire, sont contre, Mgr Johann veut être guéri et prêcher le christianisme aux païens, mais Genelon accuse son beau-fils Roiand de soif de sang et conseille l'acceptation. L'Empereur ordonne une assemblée générale, à laquelle il est résolu, à la demande de Turpin, d'envoyer un message à Marsile, auquel Roland, Olivier et Turpin s'engagent. Lorsque Karl accepte cela, Genelun proposé par Roland. Genelun pâlit, maudit son beau-fils et laisse tomber le gant que l'Empereur lui avait donné. Charles n'accepte aucune objection et lui remet la lettre à Marsilie, dans laquelle il promet à Marsilie la moitié de l'Espagne comme fief s'il veut accepter le christianisme et devenir son mari : sinon il menace de détruire Sarraguz, avec lui lié sur une promenade à dos d'âne à Achen et se faire couper la tête.
+
L'empereur présente la demande de Marsile aux princes. Roland, Olivier, Turpin et Naimes, voyant à travers l'histoire, sont contre, Mgr Johann veut être guéri et prêcher le christianisme aux païens, mais Genelon accuse son beau-fils Roiand de soif de sang et conseille l'acceptation. L'Empereur ordonne une assemblée générale, à laquelle il est résolu, à la demande de Turpin, d'envoyer un message à Marsile, auquel Roland, Olivier et Turpin s'engagent. Lorsque Karl accepte cela, Genelon proposé par Roland. Genelon pâlit, maudit son beau-fils et laisse tomber le gant que l'Empereur lui avait donné. Charles n'accepte aucune objection et lui remet la lettre à Marsilie, dans laquelle il promet à Marsilie la moitié de l'Espagne comme fief s'il veut accepter le christianisme et devenir son vassal : sinon il menace de détruire Sarragosse, de le ligoter sur un âne pour l'emmener à Aix où il lui fera couper la tête.
 
{{Saut 2 colonnes}}
 
{{Saut 2 colonnes}}
 
[[File:Das Rolandslied Konrad Bartsh (1874) n80.jpg|400px|center]]
 
[[File:Das Rolandslied Konrad Bartsh (1874) n80.jpg|400px|center]]
 
{{Fin 2 colonnes}}
 
{{Fin 2 colonnes}}

Version actuelle datée du 20 mai 2023 à 19:30

Karls's Berathung

Le conseil de Charles


 
 

Pour naviguer dans le chapitre

XXXVII -

Le texte d'introduction

En allemand

Der Kaiser trägt den Fürsten das Begehren Marsilie's vor. Roland, Olivier, Turpin und Naimes, den Trag durchschauend, sind dagegen, Bischof Johann will geheii und den Heiden das Christeuthum predigen, Genelun aber wirft seinem Stiefsohn Roiand Blutdurst vor, und rãth zur Annahme. Der Kaiser gebietet eine allgemeine Versammlung, auf welcher nach Turpin's Antrag beschloßen wird, an Marsilie eine Botschaft tu senden, zu weicher sich Roland, Olivier und Turpin erbieten. Als Karl diesen seine Einwilligung versast, wird. Genelun Yon Roland yorgeschlagen. Genelun erbleicht, verwünscht seinen Stiefsohn, und läßt den von dem Kaiser ihm dargereichten Handschuh zur Erde fallen. Karl nimmt keine Widerrede an, und übergibt ihm den Brief an Marsilie, worin er diesem, wenn er das Christeuthum annehmen und sein Mann werden will, die Hälfte yon Spanien als Lehen verspricht : sonst aber drobt er Sarraguz zu zerstören, ihn gebunden auf einem Esel nach Achen fuhren, und ihm das Haupt abschlagen zu laßen.

Traduction

L'empereur présente la demande de Marsile aux princes. Roland, Olivier, Turpin et Naimes, voyant à travers l'histoire, sont contre, Mgr Johann veut être guéri et prêcher le christianisme aux païens, mais Genelon accuse son beau-fils Roiand de soif de sang et conseille l'acceptation. L'Empereur ordonne une assemblée générale, à laquelle il est résolu, à la demande de Turpin, d'envoyer un message à Marsile, auquel Roland, Olivier et Turpin s'engagent. Lorsque Karl accepte cela, Genelon proposé par Roland. Genelon pâlit, maudit son beau-fils et laisse tomber le gant que l'Empereur lui avait donné. Charles n'accepte aucune objection et lui remet la lettre à Marsilie, dans laquelle il promet à Marsilie la moitié de l'Espagne comme fief s'il veut accepter le christianisme et devenir son vassal : sinon il menace de détruire Sarragosse, de le ligoter sur un âne pour l'emmener à Aix où il lui fera couper la tête.

 
Das Rolandslied Konrad Bartsh (1874) n80.jpg