Ber
Sommaire
Dans le manuscrit d'Oxford
Dans le glossaire de l'édition critique de Léon Gautier
Ber, BERS. S. s. m. (Je pense que bers pourrait se rapporter à barus, et ber à baro. Le cas est discutable, et la seconde étymologie est la meilleure.)
Ber se trouve au cas sujet, vers 531, 648, 1967, 2085, 2149, 2354, 2444, 2497, 2737, 3157, 3899 ; bers, vers 125, 1155, 1541, 2378, 2408, 2778, 2867, et barun, par erreur, 2190. — Voc. s. m. : ber, aux vers 350, 2221, et bers, 3344. — R. s. m. : barun, 275, 779, et baron, 467, 744, 1536, 3746. — S. p. m. : baron, 2415. — Voc. p. m. : baron, 3366, 3557 ; baruns, 70, 1127 ; barons, 1472, 1854, 3768. — R. p. m. : baruns, 166 et barons, 1696, 3862.
Dans la note du vers 430
Une précision est donnée dans la note du vers 430.
- Iço vus mandet Carlemagnes li bers
Li ber. O. On trouve au sujet sing. les deux formes ber et bers. La première est la plus fréquente. C’est aussi la meilleure, si l’étymologie du mot est baro, baronis. Pour expliquer bers, il faut barus, qui se rencontre, en effet, dans quelques documents (même on trouve au pluriel, les bers). Lire partout, dans notre texte : ber.
Dans l'édition critique de Francisque Michel
On trouve la proposition « brave » (vers 531)